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Une femme mariée de 56 ans baisée (2)

Suite de l'histoire de la femme d'un couple nouvellement installée dans une cité. La femme mariée se fait baiser dans une partouze.

Proposée le 28/05/2020 par pat_59

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Thème: Couple
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire

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Suite de la honte de la cité :

Je reviens sur le moment où j'ai découvert mon épouse devenais une salope, une pute, une vide-couille, ... Enfin un truc répugnant de poubelle à spermes.
Je rentrais de mon boulot, je pénétrais dans mon immeuble, il y avait plusieurs mecs en train de fumer un truc louche. A mon passage, d'une façon indécente ils ont envoyé en ma direction une bouffée de fumée et :

"Ta pute n'est pas chez toi",
Avec un sourire narquois.
Je fis mine de rien et je commençais à monter les marches.
"Eh mec descend"
"T'es demandé par Farid"

Il y avait un mec sur le palier au-dessus de moi qui me barrait la route, m'invitant fortement à redescendre
"Suis-nous"

J'étais très bien entouré, je ne pouvais m'écarter de leur droit chemin, j'ai ressenti cela comme mon chemin de croix. Surtout à les entendre jacasser sur mon épouse avec des termes si peu élogieux. J'étais de plus en plus abasourdi, je m'enfermais dans un mutisme. Je ne me suis pas aperçu que l'on avait changé de bâtiment et descendu dans les recoins sombres des caves. Le brouhaha qui régnait de la foule hétéroclite me sorti de ma léthargie, je me serais cru sur un marché africain baragouinant dans leur dialecte. Cela me déstabilisait car je sentais la pression de leur regarde sur moi. Mes gardes frayèrent un chemin parmi eux, je me trouvai enfin au premier rang de la scène : une scène de débauche sur une femme. J'étais au beau milieu d'un film que j'ai maintes fois regarder sur mon ordinateur mais face à la réalité c'était étrange.

"Alors tu la trouves comment ta pute"

Il m'a fallu quelques minutes devant la masse des corps nus, gesticulant comme on pourrait être une masse grouillante d'une fourmilière sur une proie à bouffer. C'était dans un déplacement des corps que je pu voir enfin la femme allongée sur le matelas décrépie. C'était Annie, mon épouse !

Cela me provoqua un blocage intellectuel quelques instants, tétanisé physiquement. Je suis revenu de ma stupeur pour regarder tout autour criant de mes yeux hagards car aucun son ne pouvait sortir de ma bouche.


"Il faut arrêter ça, aidez-moi, il faut arrêter ça"

Mais autour, il n'y avait que des mains dans leurs pantalon ou djellaba s'asticotant le sexe en attendant leur tour.

Farid, m'accosta
"Elle bosse bien ta pute"
"Mais ..."
"Ta gueule, écoute p'tit blanc !"
"On t'as amené là, c'est pour de faire comprendre que maintenant c'est notre pute, ce n'est plus ta femme compris"
"COMPRIS"

Il insistait, je ne réagissais à sa question. Il eut alors une réaction qui me déstabilisa davantage, de ces mains impressionnantes il m'arracha la chemise ainsi que le tee-shirt. Puis il reprit
"Compris, c'est plus ta femme"
"euh ... oui"

Il m'attrapa par la nuque et m'entraîna vers l'entrejambe de mon épouse. Demandant la place du mec qui forniquait entre les jambes de mon épouse, il se précipitait de finir de jouir pour se retirer de la chatte. J'étais déjà à genoux, lorsque ce mec passa devant moi debout avec son sexe à la hauteur de mes yeux. Je pu voir qu'il n'y avait pas de capote et son gland était encore enrober d'une partie de son sperme.
J'entendais les jurons peu flatteurs lancer à mon encontre tout autour de moi. Je devais me résoudre pour la première fois de ma vie que j’étais cocu
Farid me repris pour coller ma bouche sur la chatte de mon épouse dégoulinâtes de foutre.
Pour la suite, j'ai été parqué comme un petit chien à côté de mon épouse pour assister de près aux inséminations grossières de cette foule d'immigrés. J’ai dû reprendre le cuni à mon épouse pour la rendre immaculée pour son nouveau guide.

Farid, s'était approché pour constater le nettoyage, il m'a imposé à plusieurs reprises pour qu'il ait complètement satisfaction. Il se déshabilla pour présenter son mandrin pour labourer les sillons intimes d'une pétasse. Annie, bien que fatiguée ouvrit davantage ses jambes pour que le sexe énorme de son nouveau gourou. Il la baissa sans pitié, on ressentait même un désire de détruire l'intimité. Les coups de butoir de bassin empalant son sexe violemment au fond de l'utérus. Extérieurement on voyait le corps d'Annie remonter par à coup, lui donnant un rictus de douleur mélangé de plaisir. Les injonctions de paroles d'inséminateur démoniaque hypnotisaient complètement Annie. Elle était prête à tout pour lui, hystérique au point de lui réclamer de la mettre enceinte. Je pris conscience le détail que j'avais oublié, elle ne prenait plus depuis longtemps de contraception. Il était évident que tôt ou tard elle allait avoir un bâtard. Il n'hésita pas à lui exiger des filles pour en faire des putes. Et elle disait "Oui, oui ..."
Le fan club rapproché de Farid, s'approcha de ma salope, toujours en position à genoux, pour se masturber devant son visage et expulser leurs spermes sur sa gueule. Elle fermait les yeux pour éviter ce liquide voilé sa vue mais cela coulait partout, elle respirait doucement pour réduire les remonter des spermes dans les narines. L’un deux eu la diabolique idée de coller son gland à l'orée de son nez pour jouir et plusieurs jets de son sperme ont pénétré profondément ses narines. Il lui pinça le nez pour que ses éternuements se transformaient en racle d'aspiration. Son sperme en transite au travers de ses naseaux se fraya un chemin pour rejoindre ses boyaux. A chaque fois, leurs pénis touchaient son visage pour étaler ce liquide sirupeux sur une plus grande surface de son visage. Ses oreilles et ses cheveux n'ont pas été épargné. L'humiliation était à son comble…

je n'avais plus accès à mon épouse je ne pouvais plus la baiser la seul chose que je pouvais faire c’était de récupéré une de ses culotte dans le bac à linge qu’elle avait inondée de son jus de mouille et les reste de sperme pour me branler dedans pour pouvoir me soulager de mon excitation

Tout fois, Farid mis une surveillance dans la journée en mettant à la tête des jeunes de la cité, sa nièce. Sa nièce était une teigneuse de 17 ans difficilement gérable future graine de délinquance. Elle prit ce job à cœur car elle prit le dessus de mon épouse pour la traiter comme une chienne. N'hésitant à donner des baffles lorsqu'elle ne réagissait pas assez vite. Ou qu’elle refuser de sucer un jeune de la cité Un exemple, lorsqu'elle arrivait dans le palier ou mon épouse nettoyait la cage. En plein activité de nettoyage normal avec ses sauts, balaies serpillères ... Elle exigeait qu'elle enlève intégralement ses vêtements, les vêtements était jetés dans le vide pour se retrouver tout en bas dans le hall d'entrée.
Elle aimait ajouter à l'humiliation de soulever sa minijupe sans culotte pour uriner sur mon épouse. Son autorité despotique était connue au point que nulle passant à côté n'oserait la contredire. Lorsqu’un jeune seul voulais baiser ma femme
. Elle savourait le regard de la mère voire son fil se faire baisser le pantalon et le slip, pour un câlin sur son entrejambe pour le rendre raide. La mère regardait son ado pénétré Annie où bon lui semble dans sa chatte ou son cul. Aucun ado de la cité n'était puceau. Parfois encore elle poussait davantage le paroxysme de l'humiliation en lui mettent des claques pour que me femme se laisse baiser
"Comme, ça tu fais plus chienne avec une queue"
Sa nièce encourage le jeune a la défoncée devant sa mère qui elle aussi encourage son fil à la baiser vas-y mon fil baise là cette salope mets lui tout ton sperme soulage toi ce qui arriva ma femme se laissa ensemencé par de jeunes de cité qui avait envie de baiser pendant que la nièce de farid la prenait en vidéo pour la diffuser à d’autres jeunes de la cité qui aurai envie de baiser

La situation avait beaucoup dégénérée, les femmes "honnêtes" craignaient que leur époux ne cède à la tentation. Elles savaient que tôt ou tard, leurs époux la baiseraient, parfois devant elle comme les jeunes ou leurs fils n’osant pas rompe le climat social précaire de la cité. Ils pouvaient bien appeler ma femme poubelle à sperme
quand ils voulaient m'humilier sa nièce vient me chercher. La dernière fois elle venus parce qu'il y a eu un nouvel arrivage d'immigré aux sexes démesurés. C'était comme ça que j'ai dû tenir un sexe monstrueux à l'orée du cul de mon épouse pour qu'il reste en position avant de prendre un élan et forcer le passage. J'ai entendu les cris déchirant de mon épouse par cette pénétration de fou. Il n'eut aucune pitié, il était content d'avoir réussi à passer son gland, un autre élan monstrueux embrocha davantage glissant jusqu'aux couilles. J'avais encore les mains soutenant le pubis, je sentais le passage de ce sexe hors norme détruire le cul de mon épouse. Qui pleurer de douleur
Aucune pitié, il labourait son cul comme un forcené. Ce n'est qu'après avoir jouie et pris le temps de savourer sa victoire d'avoir embroché cette pute qu'il se retira doucement pour savourer le flot de fluide peu ragoûtante qui suivait.

Son sexe n'avait même pas débandé. Je constatai aux passages ce qu'il avait expulsé avec les traces de sperme mais aussi fécales. Il n'eut aucun scrupule pour s'enfoncer dans le vagin avec la souillure du cul. Le supplice continua pour mon épouse, pourtant elle ne tenta pas de se soustraire acceptant pleinement la correction sexuelle. Il jouissait une nouvelle fois pour cette fois la libérée définitivement. Il y eu une pause inopinée pour permettre la vision du massacre à la majorité des personnes proches dont moi. Je n'osais m'exprimer mais en mon font intérieur, je pensais "Bien fait, salope". Déçu par sa réaction d'acceptation. La punition n'était pas assez grande ...

Depuis peu, j'ai fait la connaissance sur internet d'un mec qui se réjouissait de mes malheurs, je vu en lui un moyen de punir Annie de la descendre encore plus bas dans la déchéance humaine. Il me posa des milliers de questions pour savourer au travers de mes mots son désires de pervers. Parmi c'est question pertinente était : Ne devrait-elle pas être enceinte depuis les 1 an d'insémination régulière. Je l'ai presque découvert en même temps que lui, parce que l'on m'apporta le test positive qui a été fait lors d'une soirée de baise. Ils le faisaient régulièrement sans que je le sache, il se donnèrent la peine à me le montrer parce que c'était effectivement positive.


Elle avait un bâtard ou des bâtards en formation en elle, on saura dans quelques mois l'origine du géniteur, black, beur, turc, slave ... mais pas de moi, depuis le début j'étais interdis de baise dans sa chatte. Je me contentais de récupérer dans la panière à linge une de ces culottes pour me masturber et la souillée davantage avec les autres spermes que sa chatte avait expulsés. Mon correspondant web, se réjouissait de mes déboires, n'hésitant pas à me pousser vers d'autres cochonneries qui me reboutent un maximum.
Enfin, il eut des idées perverses pour avilir davantage mon épouse en proposant de suggérer à Farid, l'accouplement de mon épouse avec la race canine. Je compris qu'il avait une expérience dans ce domaine pour me convaincre rapidement de le faire. Dès le lendemain, j'ai fait part à Farid qu'il approuva la chose, il avait en vue 2 gros chiens qui devrait faire affaire. Il me rappela à l'occasion qu'Annie n'était plus mon épouse mais sa salope et que symboliquement elle ne devrait plus porter son alliance pour que ma femme soit libérée des sacrements du mariage farid va tout faire pour que ma femme redevient une femme libre à baiser.

© Copyright : Cette histoire comme toutes les autres sont protégées par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de la confession :

Didou
Je suis très perplexe de savoir qu une femme de 58 ans puisse être enceinte, et où en est tu avec ta femme actuellement
Posté le 10/01/2023


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