Parcours d'une femme soumise à une femme par chantage. mari à tendance candauliste, dépassé par le jeu du départ et ne contrôlant plus la situation.
Proposée le 5/06/2020 par marjul35
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Thème: Sodomie
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Confession
La soirée devait se passer chez un collègue de travail de mon épouse, belle blonde aux yeux bleue, un corps parfait, bref tout pour faire envie et des rêves érotiques. Pas jaloux, mais un peu voyeur et candauliste naissant, j'imaginais un scénario sans savoir si elle oserait le partager et d'aller au bout de mon fantasme. Je la savais ne pas être indifférente au charme de notre hôte qui nous avait invité avec quelques couples de ses amis pour un repas convivial, et que je soupçonnais très intéressé à posséder. C'était l'été et ma femme était habillé d'une sorte de robe légèrement moulante avec des franges en bas style mexicaine ou américano-indienne, laissant découverte une bonne partie de ses cuisses, et pour un voyeur expérimenté, lors de ses déplacements, élévation des bras, ou position assise, devinait sans trop de difficulté le liseré de sa culotte.
Peu adeptes des soirées trop longues, je me suis assoupi sur le canapé trop moelleux. Tout le monde discutait, buvait un dernier verre, et la musique de fond emplissait de plus en plus la pièce. De jazz lancinant, le ton se fit de plus en plus ambiance slow, et les brouhahas des propos évoluant vers les murmures, puis doucement le silence s'installa. Ouvrant un œil, je vis les couples qui s'enlaçaient tendrement. Mon épouse restait en apparence discrète avec notre ami, son cavalier, car connaissant, je crois les autres participants à la soirée. Elle ne voulait pas sûrement pour raison pro, se montrer trop intime et attiré.
Progressivement, comme par complicité, les uns et les autres se retirèrent discrètement jusqu'à ce qu'on ne soit plus que tous les trois.
Alternant les déplacements entre salle à manger et cuisine, remettant de l'ordre à l'appartement, il passait régulièrement la main dans son dos, frôlement des fesses, la reprenant par la taille pour quelques pas de dance, puis continuait le rangement. J'entendais rire et chuchotement, puis la lumière du salon s'est lentement éteinte, ainsi que la salle à manger. Toujours le fond musical discret, puis lumière dans le couloir de l'appartement.
A ce moment-là, pendant qu'il était aux toilettes, je l'ai vu venir vers moi, se pencher pour savoir si je dormais. J'ouvris les yeux, son regard pétillait implorant mon assentiment. Je souris, elle a pris ma main, y a déposé sa culotte trempée, relevé le bas de sa robe, ma main s'est glissé dans son intimité. Il était trop tard pour faire marche arrière.
Elle est reparti, mais cette fois, vers la chambre à coucher. Plus de bruit, sauf quelques froissements de tissus, de robe qui tombe, de succion, puis de grincements imperceptibles, au début, des ressorts du lit. Elle était saillie, baisée, heureuse. Je ne voyais rien, mais l'érotisme était à son comble. Le mâle prenait possession, mon épouse était une véritable femelle soumise, consentante.
Deux heures plus tard, elle est revenue comme pour me réveiller, me reprochant devant lui, de m'endormir ce qui n'était pas correcte pour notre Amis.
Dans la voiture, je n'ai pu résister et elle non plus de faire l'amour, pendant qu'elle me faisait la narration de sa soirée.
En fait, les autres avaient compris ce qui se passait entre eux, et s'est à sa demande à lui qu'ils se sont éclipsés.
Au cours des slows, c'est lui qui lui avait enlevé sa culotte, sans qu'elle puisse ou ne veuille réagir. Un de ses copains était passé discrètement, collé, derrière elle, et lui tenait les bras en l'embrassant suavement dans le cou. Pour le récompenser de son aide, il a permis à son pote de la caresser, mais je ne pouvais pas d'où j'étais les voir, et ils se sont mis tous les deux à la branler. Elle a avoué être dans un état second quand une des femmes présentes est venue les rejoindre pour en profiter et lui donner son tel pour qu’elle vienne chez elle le lendemain.
Ensuite, tout s'est déroulé comme je vous l'ai raconté. Bien entendu, il y a eu d'autres aventures
Au retour de cette soirée, la vie a repris son courant quotidien, boulot, boulot et boulot. Rien de palpitant pendant quelques jours. Week-end calme.
Le lundi, ma femme reçu un appel, et s'éclipsa pour répondre. Bon, peut être boulot, mais pas de quoi s'isoler…
Et puis, le phénomène se reproduit, de plus en plus souvent, et elle ne semblait pas très contente des échanges, j'espionnais et il était évident que ça n'allait pas. J'entendais des non, des je ne vois pas pourquoi, je ne peux pas faire ça, et d'autres : je ne peux pas LUI faire çà…. Ah bon, de qui s'agissait-il ?
Le doute commença à me titiller jusqu'au vendredi suivant ou l'après-midi, mon épouse m'appela pour me dire de ne pas l'attendre pour manger, qu'elle rentrera tard, devant rendre visite à une de ses Amies qui n'allait pas très bien.
Les heures s'égrainaient, et vers 23 heure, je reçu un sms : "Mon chéri, je suis désolé, je ne me suis pas rendu compte de l'heure, prise par les discussions. Mon Amie trouve plus raisonnable que je passe la nuit chez elle, je t'embrasse, je t'aime, à demain".
Pas du genre à me détendre, surtout que je ne suis pas adepte de dormir seul.
Le samedi matin, je passe mon temps à bricoler, pas de nouvelles, mais comme elle est plutôt couche-tard et lève tard, rien d'anormal.
A 15 heure, je reçois un autre sms : peux-tu venir à 22 heure sur le parking de l'aire de repos de l'A… proche de chez nous, tu comprendras, sois discret, je t'en prie."
Déjà qu'elle n'était pas rentrée !
Bien entendu, à 21 heures j'étais sur les lieux. Plusieurs voitures stationnaient, visiblement en attente, je me rangeais à l'écart pour observer. Je n'imaginais pas que le rendez-vous était pour l'apéro. Effectivement, une Audi que je reconnaissais comme celle d'Hélène, la copine de la « soirée provoque », apparue. Ma femme que je nommerai Béa se trouvant à la place du passager.
Après quelques appels de phares, elle se gara. Je vis à ce moment-là des gars sortir des buissons et s'approcher. Je fis de même, équipé d'un blouson avec une grande capuche qui dissimilait mon visage.
Béa était le corsage ouvert, les seins à l'air, une jupe ultra courte rouge que je ne connaissais pas. La vitre était baissée et les voyeurs se masturbaient. C'était Hélène qui
Orchestrait les débats. L'ambiance était chaude. Hélène écartait les grandes lèvres de Béa qui semblait complètement soumise alors qu'elle n'avait jamais accepté l'idée de faire avec une femme.
Les vitres étant ouvertes, des mains caressaient, pétrissaient les seins, ouvraient sa bouche pour enfoncer les doigts, pendant qu'Hélène, muni d'un petit vibro, glissait sur le clito de Béa et entrainaient de sa part des mouvements du bassin, signifiant son plaisir. Au bout d'une bonne demi-heure de ce traitement, Hélène sorti, fit le tour de la voiture, ouvrit la portière et entraina ma femme sur le capot, à plat ventre, jupe retroussée, à la vue de tous et au plaisir des éjaculateurs. J'en dénombrais une dizaine, jusqu'au moment où apparu notre cher ami qui nous avait reçu chez lui, complice d'Hélène évidemment. Il enfila une capote, sortit quelques billets qu'il donna à notre organisatrice, et baisa à la hussarde faisant gémir de plaisir sa partenaire. Gentiment il glissait ses doigts sur la raie des fesses, s'attardant sur le puit interdit, prit sa queue et força le passage, dans un cri qui n'avait rien de jouissif. Le passage étant fait, il se retira pour lui éjaculer sur le visage. Quelques autres prétendants, attendaient et Hélène s'amusait à jouer la proxénète. Elle utilisait Béa comme une Putte docile et soumise. Je ne la reconnaissais pas, cependant ma queue trahissait mon émotion et cette situation non maîtrisée n'était pas sans me déplaire. Visiblement, elle prenait plus cher financièrement et sexuellement dans le cul que dans la chatte. Les voyeurs c'étaient gratuit. Concernant la fellation, rien, bizarre, Hélène mettait un interdit. Cette débauche dura plus d'une heure, Béa ne réagissait plus à rien, ce fut le signe de l'arrêt des festivités.
Hélène compta et rangea les billets en lui disant pas mal, c'est mieux qu'hier, tu fais des progrès mais j'attends mieux. Tu jouis comme une fontaine, si bien que tu ne tiens pas la route. Bon on va rentrer pour que tu me lèches la chatte, je commence à sentir de la foufoune. Tu restes à poil dans la voiture et tu te branle à chaque feu rouge, que tout le monde te vois, et si un routier est en manque, tu repasses à la casserole. Compris !
Je trainais un peu. Il n’était pas loin de minuit quand je suis reparti.
Arrivé chez moi, pas de nouvelles. Puis vers une heure, sms : "Tu étais là ? Je suis désolée, je ne pouvais rien faire qu'obéir, d'ailleurs elle est à côté de moi et te félicite d'avoir une femme aussi généreuse. En fait, elle a fait l'autre soir des photos, de mon déculottage et du reste, puisqu'en fait elle n'était pas partie avec les autres et programmait de me rendre soumise par chantage. Elle menace de diffuser, et tu comprends, vue ma situation, je n'ai pu qu'accepter. Elle me dit de t'informer qu'elle n'a pas fini et qu'elle va s’occuper de moi cette nuit. Je ne pourrai pas rentrer avant demain soir, car elle a prévu quelques activités l'après-midi. Dort bien mon chérie, c'est toi que j'aime.
Bon, plus qu'à attendre et cogiter une façon de reprendre la main. J'avais ma petite idée…
Elle rentra à la maison vers 20 heure, le visage défait, les traits tirés mais pas que… Le reste aussi.
Elle voulut prendre un bain me promettant de tout me raconter.
Lors des appels téléphoniques, Hélène lui envoya quelques photos prise par son mobile, de plus en plus compromettantes. Elle lui donnait rendez-vous pour le vendredi après-midi pour discuter, et devant son refus, menaça de diffuser sur son lieu de travail. Donc, le vendredi, rencontre chez Hélène, au début cordial, puis de plus en plus autoritaire, donnant quelques ordres anodins au début du style sert moi un café, je prends un sucre, viens t'assoir à côté de moi, puis tu as des belles jambes, relèves un peu ta jupe. Bon, ne fais pas la sainte nitouche, je t'ai vu à l'œuvre et tu n'étais pas préoccupée par ton mari. Le pauvre con, il dormait…
Debout et vite ! Relève ta jupe. C'est bien. Si tu veux tes photos va falloir obéir. D'ailleurs ce Week-end tu ne rentres pas. Tu l'appelles et tu te débrouilles.
Enlèves ta culotte, elle ne va pas te servir beaucoup. Je vais t'épiler, je ne veux pas un poil qui traîne. Allez le sous tif aussi et dégage tes fringues. Tu mets cette jupe rouge de Putte et ce braséro ouvert. A ce moment, l'amant du soir fit son apparition.
Surprise Béa, sembla rassurée, mais ce ne fut que de courte durée. Il la poussa sur les genoux d’Hélène à plat ventre et lui administra une bonne fessée. Puis Hélène lui caressa les fesses, les écarta et Jean s’astiqua sur la raie jusqu’à éjaculer sur son cul.
Elle fut ensuite attachée à une poutre, les bras en l’air.
La sonnette retentie, et elle vit avec stupeur entrer tous les amis et collègues de la dernière soirée.
« Eh !, vous avez commencé le dressage sans nous, pas sympas. Il est où le cocu ? »
Hors-jeu les gars, bon on commence par l’apéro, on casse la croute et on s’amuse avec la belle qui pour l’instant ne fait que nous regarder. Ils détachèrent ses bras et l’attachèrent sur une chaise.
Après le dessert, Jean proposa un poker dont Léa serait l’enjeu. Tout le monde, homme ou femme participaient. Au fur et à mesure des tours, la table se dégarnie. Il ne restait plus que Léon, gros lard transpirant, moche comme un pou, et Robert, du même acabit, doué en plus d’un côté pervers mais surtout il était un collègue direct au travail. Elle avait d’ailleurs déjà constaté ses regards vicieux et intéressés.
Quelques tours après, ce fut malheureusement Robert qui remporta la mise. Sa respiration haletante, soulignait le plaisir profond qu’il ressentait. Tout était prévu. Il alla chercher sa petite valise à jouer, releva la tête de Béa, la fixa dans les yeux en lui disant : « je n’espérais pas avoir ce plaisir, mais l’autre soir, j’ai compris que tu étais une petite salope dont il allait falloir s’occuper. »
Il commença par lui mettre une boule dans la bouche pour l’empêcher de crier puis sorti des pinces pour les seins ainsi que pour les grandes lèvres avec des poids au bout. La douleur ressentie lui fit faire des grimaces et des larmes, puis la chaleur s’amplifia dans les tétons et une onde de jouissance irradia tout son corps. Dans sa tête, elle se refusait à lui montrer son plaisir, mais le pervers savait s’y prendre. Il prit une petite ventouse à dépression, qu’il posa délicatement sur son clito en écartant délicatement les petites lèvres. Après aspiration, son petit appendice tripla de volume et devint violacée, entrainant un nouvel orgasme. Avec une noisette d’une huile particulière, il caressa tout le sexe, introduit un doigt, puis deux, puis trois à l’intérieur, rechercha son point G qu’il stimula énergiquement. Une sensation étrange, inconnue, hyper jouissive accompagnée d’une sorte d’éjaculation la transporta à nouveau. Elle avait ressenti sa première fontaine. Applaudissement des invités qui n’en perdaient pas une miette, frustrés de ne pas participer. C’était nouveau, elle ferma les yeux, honteuse quand le vieux pervers vint lui lécher la vulve n’en perdant pas une goutte. Il demanda à Jean de l’attacher à la poutre pour qu’elle se trouve les bras en l’air sur la pointe des pieds. Il prit un martinet dans la mallette et d’un geste lent, parcouru le corps, faisant glisser les lanières, pour stimuler la peur et augmenter la jouissance qui va suivre. L’attente fut longue, Le Robert savourant sa puissance, sa domination, son plaisir de soumettre et pourquoi pas l’espoir de devenir son maître après la soirée.
Les coups de martinet commencèrent par les jambes, remontant sur les cuisses, doucement au début puis de plus en plus fort, scrutant le regard exorbité de Béa par la peur de la souffrance. Il sortit son sexe, petit et flasque, stimulant son gland pendant que son martinet remontait sur les fesses, sur le sexe, que ma femme essayait d’esquiver, mais sur la pointe des pieds, difficile. Les claquements se firent plus fort, maintenant sur le dos, les seins, jusqu’à une pauvre éjaculation de Robert, sous les hourras du public.
Béa croyait son supplice terminé, et revenir à la maison. Hélène lui apporta son téléphone. « Mets un sms à ton mari et dit lui que vu l’heure tu restes coucher ici. Après on sort. Fais vite. D’où le message que j’avais reçu.
Après avoir enfilé sa mini rouge et son corsage ouvert, interdiction slip et soutien-gorge, le petit groupe se dirigea vers le fameux parking.
Là, elle se fit d’abord baiser par les membres du groupes qui n’en pouvaient plus d’attendre, faisant bander les voyeurs environnants. Hélène prit le relais et leur proposa la baise moyennant quelques billets expliquant que c’était sa Pute. Précisant pas de pipe, pas le cul, c’est réservé, ce qui pour Béa ne semblait pas de bonne augure.
La soirée prit fin, faute de combattant et l’heure tardive. Tout le monde rentra au bercail.
Et cette après-midi ?
Hélène me réveilla vers midi, j’étais éreintée. Après un petit déjeuné, sympas, comme si tout avait été un rêve, nous sommes allées dans son dressing. Elle me choisit des sous-vêtements chics, d’un ensemble tailleur corsage classique très BC BG, chaussure à haut talons.
Il était 14 HEURE, Nous partîmes en voiture, j’appréciai ce moment de répit, le calme après la tempête. Du moins je le pensai. Sortant des beaux quartiers, elle se dirigea vers la banlieue, puis vers la zone industrielle. Nous longions le canal déserté à cet endroit, puis elle se gara à proximité d’un groupe d’une dizaine d’africains noirs, trainant leurs misères en fumant quelques joints, allongés sur les rives d’un plan d’eau.
Bien, tu vas les rejoindre et te faire sauter. Je te passe 200 euros, au cas où tu aurais besoin de les décider. Normalement, tu te débrouilles pour baiser et rapporter 200 euros de plus. Le but est en premier de te faire élargir, ensuite de ramener du fric. Si tu donnes les 200, tu auras donc une dette de 400. Bien compris la matheuse ?
Désespérée, je m’approchai du groupe, surpris de voir une si jolie femme venir vers eux. Quelques sifflements d’admiration, et à mon approche, une sorte de timidité et d’envie leurs semblant impossible.
« Eh la meuf, t’es paumée ou quoi, c’est pas des coins pour bourges. Qu’est-ce que tu veux, on a que de la bite. »
Justement, je viens pour ça. En réfléchissant vite, une idée m’apparut.
Les gars, j’ai un deal, gratos pour ma chatte mais 30 pour le cul.
Regards ébahies, une bourge comme ça, à dispo. Ouah c’est Noel.
Le plus âgé en me regardant me dit ok, je te file 250 et on t’encule tous, mais là, tu vas souffrir. Au fait, c’est qui l’autre dans la voiture ?
C’est ma prox, elle me fait chanter et m’oblige à tapiner depuis trois jours.
Hélène était avec son appareil photo et n’arrêtait pas de faire des gros plans de la scène.
«Je suis Youssouf. Bon on va se régaler et pour elle, on te donnera un coup de main pour la faire payer. T’inquiète, elle va prendre cher, on verra çà après »
Rassurée, je me suis détendue, et après tout pour quoi ne pas en profiter.
Le plus jeune me pris dans ses bras, et voulu m’embrasser, je refusais ses lèvres, derrière moi, un autre retroussait ma jupe, découvrant ma culotte, mes bas et porte-jarretelles. Je me retrouvais aussitôt le cul nu, une large langue râpeuse venait mouiller ma rondelle et préparait les débats.
Poussée vers l’avant, me pliant en deux, le buste retenue par le jeune, les jambes écartées, je senti un gland prendre mon petit trou. Sans voir la taille du membre inquisiteur, mais au ressenti de la douleur provoquée, je savais qu’il était d’une très belle dimension. Voulant organiser la progression, les mâles se présentaient en ordre croissant du petit au plus gros. Leur excitation était telle, qu’ils éjaculaient rapidement, prenant plaisir à enlever leur capote et m’asperger les fesses. Quand le groupe eut fini, Youssouf resté sobre, me pris dans ses bras, me souleva. Je m’accrochais à son cou, les cuisses sur ses avants bras, écartée au maximum. Il me laissa glisser doucement et je me retrouvais lentement la chatte empalée. Il me maintenait, debout, sans effort, les doigts des mains se réussissant sur et dans mon anus, continuant à le maltraiter.
La jouissance grimpait violemment. Il déclencha rapidement une fontaine qui me fit partir dans les vaps. Je repris mes esprits. Youssouf était allongé dans l’herbe, j’étais sur lui, toujours son sexe à l’intérieur que je sentais palpiter. Il me souriait. J’ondulais sur lui, appréciant sa vigueur. Le dernier du groupe resté vigoureux, vint se placer derrière moi. Youssouf me bascula complètement sur lui, me bloquant pour laisser à Ahmed, un libre accès à mon cul. J’allais recevoir ma première double, et peu banal par deux noirs africains montés comme des bourrins. C’était violent dans tous les sens du termes, tendre délire et orgasmes en chaîne. Je senti leur jouissance monter en symbiose, entrainant un feu d’artifice.
Hélène s’impatientait et klaxonna.
Youssouf dit elle fait chier, bon je te passe mon 06, et on s’en occupe dans la semaine. Je pense en faire une bonne gagneuse dans les foyers, on s’organise et tu m’appelles. Allez va y et reste docile pour l’instant. Accepte tout dans l’immédiat, mais ça ne va pas durer.
De retour à la voiture, Hélène agacée par l’attente, m’engueula pour ne pas avoir respecté le contrat. Me traitant de salope, elle me reprocha d’avoir jouie, et que la pute que j’étais, pour être totalement bonne ne devait pas se donner à fond. C’était réservé au Mac, elle et Jean. Je sorti les billets, ce qui la calma. Elle me dit bon au moins ça éponge. Bien je te ramène chez toi. Je t’explique la suite : demain tu te mets en arrêt de travail, je te donne l’adresse d’un médecin qui te fera une ordonnance. Je passerai te chercher début d’après-midi. Repose-toi ce soir, pas de rapport avec ton mari. Tu prétextes des maux de têtes et tu évoques le rendez-vous chez le médecin.
En roulant sur le retour, elle avait décidé que j’enlève mes fringues. Toujours le jeu des feux rouges où elle me triturait la chatte à la vue de tous. Elle sorti un gode de la boîte à gants et m’ordonna de me masturber et de jouir. Ce n’était pas gagné, je n’en pouvais plus. J’ai simulé à hauteur d’un camion, pendant qu’en conduisant elle se caressait.
Arrivé à la maison, elle inclina son siège, détacha ma ceinture et poussa ma tête sur son puit d’amour. Lèche, caresse, et dis-moi merci. A demain 14 heures !
Voilà, mon chéri, tu sais tout.
Bon, Béa, notre jeu a dérapé, il va falloir réagir pour cesser ce manège. J’avais un plan, mais avec l’aide de Youssouf, çà sera plus facile. Demain tu fais comme elle a prévu, tu te reposes, toubib, puis son rendez-vous.
J’avais très envie de me masturber, je lui ai dit, elle me caressa tendrement, puis avec un sourire, elle se pencha et me fit une mémorable fellation, me précisant que de ce côté elle était resté vierge.
La nuit fut agitée, elle avait du mal à lâcher prise. Son égo n’étant pas du genre à se soumettre mais plus à dominer, en avait pris un coup. Elle se réveilla vers 9 heures, pour aller chez le médecin. L’arrêt de travail semblait nécessaire pour ne pas se replonger direct dans les pattes de son vieux collègue pervers, qui elle n’en doutait pas, aurait sûrement l’intention de ne pas en rester là.
Son arrêt, sans rien demander, était déjà prêt. Il fallait auparavant, subir un examen très complet, voir style état des lieux. Elle dû bien entendu, se dévêtir complètement, s’allonger sur la table d’examen gynécologique. Le salaud était au courant, il profitait du spectacle et de la situation. Il lui demanda d’ouvrir la bouche, de la garder ouverte et de tirer la langue. D’un coup sec il introduisit ses doigts dans son vagin. Elle ressenti une contraction de son anus lui entraînant une fontaine soudaine et incontrôlable. Un sentiment de honte l’envahi, renforcé par l’entrée de l’assistante dans la salle.
« Vous m’avez appelé Docteur ? »
Effectivement, pourriez-vous examiner la poitrine de Madame et lui titiller les pointes pendant que je lui stimule le clitoris.
L’assistante s’approcha, la fixa dans les yeux en même temps qu’elle enlevait les boutons de son corsage, laissant apparaître une poitrine arrogante. Surprise, Béa était tétanisée. La jeune femme s’avança, se pencha sur son visage, approcha doucement sa bouche, les seins venant à son contact. Elle sorti légèrement sa langue et vint l’embrasser doucement, puis langoureusement pendant que ses mains prenaient possession de sa poitrine. En même, elle senti une chaleur intense se manifestée sur son petit appendice. Le toubib utilisait une crème chauffante pour la stimuler avec son pouce, ses autres doigts dans son vagin. Elle partit de nouveau en vrille, éjaculant en continu, secoué par de nombreux spasmes.
Anéantie, elle ne se rendit même pas compte qu’elle se faisait sodomiser. Les yeux dans le brouillard, elle encaissait les va-et-vient vigoureux de la verge du toubib. Puis elle se sentit soulevée, déposée sur un matelas avec une odeur forte sur le visage. Viviane, l’assistante, la chevauchait et passait son sexe sur son nez. Elle lui écrasa la bouche. Béa, retrouvait cette sensation de soumission. Sans réfléchir, elle commença à lécher, consciencieusement, titillant, mordillant le fruit défendu qui lui était offert. De l’autre côté, Viviane n’était pas en reste. Elle s’activait, lesbienne expérimentée, à faire monter la jouissance de sa partenaire. Des flashs crépitaient et mémorisaient la scène, mais là, Béa, n’en était plus à ce détail.
Le médecin laissa les deux amantes se remettrent de leurs émotions, ravi, il repartit à ses consultations.
Béa et Viviane se rhabillèrent ensemble, retrouvant leur calme.
Viviane, voulait revoir Béa, dans un autre endroit, plus calme. Un rendez-vous pour vraiment faire connaissance et plus, car elle semblait très émue de cette rencontre. Elle lui donna son 06…
Retour à la maison, épuisée.
Entre temps, j’avais contacté et rencontré Youssouf. Nous avions quelques heures devant nous. Après mon appel, nous avons sympathisé. Bien sûr, il n’a pu s’empêcher de faire des éloges de ma femme et me féliciter d’en avoir fait une bonne salope. Me précisant qu’à l’occasion, il serait content de pouvoir m’aider si j’avais d’autres fantasmes.
Dans un premier temps, j’ai appelé Hélène. Surprise, je lui ai avoué que j’étais candauliste, que ma femme m’avait raconté et que j’avais apprécié le dressage qu’elle lui avait fait subir.
Je lui demandais la permission d’observer sans intervenir et que je savais qu’elle venait la chercher à 14 heures. J’étais disponible et j’aimerai discrètement les suivre.
Fière de son pouvoir, elle m’indiqua qu’elle voulait l’emmener se faire saillir en laisse dans un bois et se faire un maximum de tune. C’était l’idéal pour moi et Youssouf. On avait l’heure et le lieu.
© Copyright : Cette histoire comme toutes les autres sont protégées par le Code de Propriété Intellectuelle.
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Commentaires de la confession :
Salope
Merci, merci pour ce récit ma chatte de chaudasse est trempée la double on me l'a jamais fait, il me faut 2 grosses bites je veux être une chienne bien soumise et obéissante. Et la sublime éjaculation faciale le meilleur moyen de jouir en étant humilitée.
Posté le 18/07/2023
Anonyme
La prostitution bandant ah bon sans oublier le chantage.
Posté le 9/05/2023
Tenor53
Chouette ! la suite ? Bien écrit, bien bandant, parfois difficile à suivre les protagonistes !
Posté le 3/01/2021
Ikken
Très beau récit j aimerait en savoir plus et apprécier toute l histoire est ce possible ?
Posté le 25/10/2020
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