A la ferme bio

Une amie m'a fait découvrir une ferme bio pour mes achats de légumes et de viande. Cette fois-ci, j'y retourne seule.

Proposée le 23/11/2020 par mariepaul5962

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Thème: Pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Je me prénomme Laure, la trentaine. Brune, élancée, une jolie poitrine, des seins assez gros. Je n'aime pas porter de dessous, laissant mes seins libres de toute entrave et mon sexe a l’air libre. J'aime le sexe, mon mari me donne entièrement satisfaction sur ce plan .Mais comme je suis une affamée de sexe, j’ai pas mal d'expériences.

Bernadette, une de mes amies intimes et copine de jeux m’a fait découvrir une ferme bio et depuis Je m’y rends fréquemment acheter des légumes de la viande et du lait .En général c’est la femme du fermier qui sert au magasin et parfois c’est le père de la fermière, un vieil homme de soixante-dix ans qui tient le magasin.
J'avais déjà remarqué à plusieurs reprises une bosse qui déforme son pantalon de travail et je devinais qu’il devait faire des ravages lorsqu’il était plus jeune.

Il est à peine quatorze heures lorsque je me gare sur le parking. Une pancarte averti d’un changement d’horaire, le magasin ouvre désormais à quinze heures trente. Comme il fait beau je décide de me promener dans les alentours, je me gare sur le parking et descend de la voiture .Je me promène, il fait chaud, je retourne à la voiture et pose mon gilet sur la banquette arrière. Je me retrouve en robe portefeuille ,que j’entrouvre après quelques mètres .La chaleur du soleil sur ma peau fait un bien fou .J’arrive à hauteur d’une grange ,face au soleil et je m’assure que je ne suis pas visible depuis le parking ainsi que de la ferme et je retire ma robe que je pose sur le sol .Je laisse le soleil me chauffer le corps ,,j’expose mon postérieur au soleil ,puis je me tourne et Je m’expose de face au soleil ,les yeux mi -clos ,je savoure la chaleur du soleil sur mon corps .Soudain ,un bruit me fait sursauter ,j’ouvre les yeux et j’aperçois le vieux fermier face à moi ,se masturbant ,son sexe est énorme .Long ,épais avec un gros gland ,il doit mesurer plus de vingt-cinq centimètres .,jamais je n’ai vu une telle queue .

Avant que je ne puisse réagir, il me prend par un bras et m’entraine dans la grange, il me caresse les seins, puis il insère son majeur à l'intérieur de ma chatte et commence un va et vient, Je suis incapable du moindre mouvement. Il dégrafe sa ceinture et son pantalon de travail lui tombe sur ses chevilles. Il attrape ma main droite et la porte à son sexe, mes doigts encerclent avec peine sa verge sans en faire complétement le tour et je commence à le branler tant bien que mal.
Apres quelques minutes, il me retourne, il me fait pencher en avant, j' écarte les jambes afin de tenir l’équilibre Il vient plaquer son énorme gland au bord de mon sexe et par petit a coup, il s’enfonce en moi.
Son énorme chibre s'insinue lentement dans ma chatte, et il me pistonne doucement en s’’enfonçant dans mon sexe. De sa main droite, il se saisit de mes tétons à tour de rôle, il les fait rouler entre ses doigts, il les tire, je les sens se durcir sous les caresses. Des râles de plaisirs s’échappent de mes lèvres.
Je suis sur le point de jouir, j’essaie de faire pénétrer un peu plus profond son gourdin. Je jouis, je le supplie de juter en moi, je sens des giclées de foutre chaud envahir ma chatte, puis ses mouvements s’amenuisent. Je pense en avoir fini mais le vieux .Mais il me retourne face à lui, me fait mettre à genoux, me traite de petite salope. Et Il me met sa bite dans la bouche et m'ordonne de la sucer. Je la lèche et suce son gland. Je sens sa queue redevenir grosse.

Le vieil homme a de nouveau la bite bandée, il me relève, il me retourne et me fait pencher en avant, les mains en appui sur des meules de foin, il me pénètre d’un coup, il écarte mes fesses, il lubrifie mon petit trou. Je comprends la aussitôt ses intentions, je ne veux pas qu'il me sodomise, mais le vieux ricane, il approche son énorme gland et l'enfonce lentement. Je crie de douleur, la bite du vieux continue à s’enfoncer lentement dans mon cul. Une fois sa queue entièrement entré, il commence de lents va et viens et malgré moi, Je me mets à gémir et à suivre la cadence. Je sens le plaisir monter et je joui comme jamais auparavant, le vieux éjacule dans mon fondement, je sens son sperme brulant gicler au fond de mes entrailles. Lorsqu’il se retire, je tombe à genoux, il se place devant moi et commence à m’uriner dessus .Le jet de pisse chaude coule sur mon visage, mes seins J'ouvre la bouche, j’avale le liquide dorée de ce vieux monsieur .J’ai envie de sucer de prendre son sexe en bouche, je saisis sa queue, ma langue lèche le sexe. Puis je prends en ma bouche le gland et commence à en avaler le plus possible.
Le vieil homme pose sa main sur le haut de mon crane, il commence à me baiser la bouche. Je manque plusieurs fois de m’étouffer .Du sperme chaud et visqueux couler au fond de la gorge, j’'avales tout.
C'est à ce moment que la porte de la grange s’ouvre, une tète apparait - Dit donc, papa, tu as oublié d’ouvrir le magasin .Allez files vite, je vais m’occuper de madame. Je tente de masquer ma nudité. Le fermier s’éclipse la tête basse .Avant qu’il ne sorte, elle l’apostrophe, quand tu auras fermé le magasin, reviens avec Thor, .La fille s’approche et s’exclame :
-En voilà une belle salope .Je te reconnais, tu es déjà venue avec l’autre garce, tu sais qu’elle a reçu le même châtiment ? Elle a pris un pied terrible, on en a tous profité, elle t’en a parlé ?
Je ne réponds pas, elle poursuit
-Et tu es venue chercher de l’authentique .Tu as à bien profiter de la courge de papa ? Hein dis salope ? Il t’a bien baisé ?
Comme je ne réponds pas, je reçois une gifle.
- Réponds, salope !
- Oui, je murmure.
- Il t’a enculé aussi ?
- Oui
- Et la pisse ? Il t’a pissé dessus ?
- Oui.
- Tu as joui ?
- Oui.
- Toutes les mêmes, ces bourgeoises .Alors ma petite dame, voilà le topo : tu vas me lécher la chatte et me faire jouir, ensuite quand papa reviendra, Thor te baissera, y a pas de raison que tu n’aies pas le même traitement que ta copine. Tu vas voir, on va ben s’amuser à quatre.

Elle s’allonge sur une botte de paille, les jambes largement écartées.
Elle me fait signe d’approcher, je vais pour me relever, lorsqu’elle m’ordonne :
-Non, non viens à quatre pattes, sale chienne.
Lécher un sexe féminin, je sais faire, j’adore même cela, ce sont les circonstances qui me gênent un peu .Malgré tout je m’attèle à la tâche et petit à petit je prends un malin plaisir à faire gémir la fermière sous mes coups de langue.
La fermière m’attrape la tête et colle ma bouche contre sa chatte.
-Oh oui, comme tu me bouffes bien la chatte !
S’exclame t’elle en jouissant dans ma bouche, j’avale sa cyprine, je lèche son sexe, récupérant chaque goutte de ce délicieux liquide.

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