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Amour espagnol(e)

La rencontre avec ma belle chérie espagnole. Comment une aussi belle femme a pu craquer sur moi, et comment nous avons brisé (rapidement) la glace sous la douche !

Proposée le 2/01/2022 par Ludi34

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Thème: Couple
Personnages: FF
Lieu: Toilettes, douches
Type: Confession

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Bonjour à tous,

il y a quelques moi je me livrais pour la première fois en vous narrant la rencontre qui allait changer ma vie avec ma tendre Joëlle. Depuis, de l’eau est passée sous les ponts. Nous nous sommes revues, mêlant à notre complicité beaucoup de rires, de sensualité et ce qui je pense être véritablement de l’Amour. Mais la vie est ainsi faite que, chacune ayant son propre chemin et les circonstances de ces 2 dernières années étant ce qu’elles sont (et vous le savez aussi bien que moi, elles n’ont vraiment pas facilité les relations à distance), nous avons suivi une route différente.

J’ai envie de vous raconter ma rencontre avec celle qui, depuis maintenant 6 mois, occupe mon cœur tous les jours, à défaut de mon corps. Nous sommes provisoirement éloignées pour des raisons professionnelles, nous permettant aussi de vivre un peu pour nous-même encore quelques temps, mais nous nous organisons pour, très bientôt, vivre le parfait amour ensemble. Bon, je vous préviens à l’avance, je ne sais pas faire court, ça risque d’être une sacrée tartine.
Comme pour ma première confession, il se peut que ma mémoire ne retransmette pas au mot près le vécu, mais les émotions et les images de cette rencontre seront authentiques car gravées à jamais dans mon esprit et mon cœur.



J’ai poursuivi – et presque terminé – mes études en pharmaceutique industrielle. Les besoins d’un stage longue durée, ainsi que des envies de soleil, m’ont amenée à trouver un poste dans un laboratoire R&D de Valence (la Belle Espagnole, pas notre jolie Drômoise) spécialisé dans la recherche anti-cancéreuse. Ça me permettait de me rapprocher un peu de mes parents.

Là-bas, j’y ai fait la rencontre de Pilar, ma jolie chef. C’est une belle valencienne, à peine la quarantaine, mariée et jeune maman. Ayant fait une partie de ses études à Montpellier, nous avons tout de suite eu des points communs qui nous ont rapprochées. Sans doute satisfaite de mon travail, nous avons commencé à nous retrouver hors du cadre professionnel. Nous sommes tout simplement devenues de bonnes copines, malgré la quinzaine d’années qui nous séparent. J’ai rencontré également son mari Ruben et leur adorable petite nénette de 4 ans. Bref au bout de quelques semaines/mois, nous étions plus intimes que de simples collègues, il faut dire que je logeais encore à ce moment dans l’appartement familiale à Castello, à près d’1h du travail, et Pilar m’avait plusieurs fois proposée de dormir chez eux pour ne pas faire la route.

Commençant à bien la connaitre, et découvrant sa bienveillance naturelle et son ouverture d’esprit, je finis par lui avouer au détour d’une conversation un peu « chaude » (comme souvent entre filles) que j’avais découvert l’amour saphique depuis 2 ans et que je n’étais plus revenu vers les hommes depuis (enfin si une fois, mais ceci est une autre histoire … ;) ). Je ponctuais ma révélation que je pensais « fracassante » par un silence lourd de suspense.
Mais à ma grande surprise elle éclata de rire en m’annonçant tout de go que sa plus jeune sœur était lesbienne depuis toujours et que, les mœurs ayant beaucoup évoluées en Espagne (peut-être plus qu’en France), je pouvais parfaitement vivre ma sexualité de manière épanouie et libre à Valence.
Je n’en attendais pas moins, mais il faut bien avouer que de toute façon, ces premiers mois en Espagne ne m‘avaient pas permis de penser à autre chose que le travail. Les quelques moments de détente avaient été passés soit seule soit avec Pilar et quelques autres collègues. Les occasions de rencontres étaient rares.
Mais tout allait changer très bientôt …

En effet, en ce chaud mois de mai à Valence, Pilar me demanda un matin si j’accepterai de venir fêter son anniversaire tout un week-end début juin. Pour passer dignement aux 40 ans, elle voulait s’offrir un beau week-end entre famille et amies. Nous serions logées chez ses parents, dans la grande villa secondaire, à Sagunto, la magnifique cité romaine. Elle souhaitait me présenter ses parents, ses 2 sœurs et son frère pour un repas le vendredi soir avec toute sa famille. A la suite de quoi, le samedi matin, Ruben, ses parents, son frère et son beau-frère nous laisseraient pour un samedi et dimanche entre filles. Elle attendait une dizaine d’autres amies, dont les collègues du boulot qui formaient notre petite bande de copines.
Évidemment, le programme étant tellement alléchant, je ne pus refuser. Elle ria même devant l’enthousiasme de ma réponse.

Ainsi donc, le jour arrivant, toutes dispositions prises (petit bagage avec maillot de bain et vanity, téléphone coupé, parents prévenus que je disparaissais pour le week-end) nous partîmes tous les 4 – Pilar, Ruben et la petite Sophia – dans l’Audi de madame (oui ça paye la recherche pharmaceutique ^^) et nous arrivâmes à Sagonte en fin d’après-midi (c’est juste au nord de Valence). La villa des parents de Pilar était magnifique, moderne, avec de grandes baies vitrées donnant sur la forteresse romaine, et une grande piscine dans le jardin. Le genre de maison dont on ne peut retenir un « ouah » lorsqu’on y pénètre pour la première fois. La famille de mon amie me fit un accueil chaleureux et adorable. Ses parents, tous 2 travaillant au HGU de Valence (l’équivalent du CHU chez nous) étaient des gens cultivés, curieux de connaitre ma vie de Française et d’une générosité non-feinte. Sa sœur et son mari – Alba et Javier – furent également charmants toute la soirée, et je me découvris pas mal d’affinités avec son petit frère, Brunó. Le football, les jeux-vidéos, le rock et la bonne chère (comme je vous l’avais avoué dans ma première confession, vivre qu’avec des frères m’a forgé un caractère un peu « garçon manqué »). Brunó est ce que l’on pourrait appeler, sans vulgarité ni sexisme, un « beau mâle » typiquement espagnol. Un corps bronzé et bien dessiné, sans excès non plus, une mâchoire carrée, des cheveux corbeau coupés courts et des yeux noirs brillant et intense qui vous font sentir toute fragile. Bref, un beau mec qui, je l’avoue, ne me laissait pas indifférente. Et comme nous avons passé la soirée à discuter de choses sérieuses (vous le croirez si vous voulez, mais les Espagnols sont impressionnés de la manière dont nous Français gérons la crise sanitaire, en parallèle au « bordel ambiant » espagnol, selon leurs mots. L’herbe est toujours plus verte ailleurs parait-il), mais surtout à rire et nous amuser. Nous nous quittâmes fort tard avec force embrassades et promesses que je reviendrai les voir (si ils avaient su à ce moment-là que ça serait exaucé au-delà de leurs attentes … :D). Nous restâmes toutes 3 - Pilar, Alba et moi – et après une rapide douche, nous allâmes nous coucher chacune de notre côté. La journée de travail avait fini par me rattraper, et je m’endormis rapidement, le regard intense de Brunó ayant accompagné mes dernières pensées conscientes.

Le samedi midi, après une matinée (bien entamée par une grasse-mat’ méritée) occupée à accueillir les copines les unes après les autres j’accompagnais Pilar à la gare de Sagonte, à 1/4h à pied de la villa pour récupérer sa sœur Llorença qui arrivait de Valence par train car elle n’avait pas le permis. Llorença était donc la plus jeune sœur de mon amie, tout juste la trentaine passée, et bossait dans un office notarial du centre, comme chargée des enregistrements administratifs (bon, honnêtement, je ne savais pas trop à quoi ça correspondait comme métier … ceux qui bossent dans le domaine me le pardonneront j’espère). Pilar me prévient en riant :« tu verras, elle ne parait pas mais c’est un sacré numéro ».
Nous arrivons à la petite gare, j’attends à côté de la voiture pendant qu’elle part chercher sa sœur sur le quai. Elles reviennent toutes les deux, Pilar tirant la petite valise, et je pose mes yeux pour la première fois sur Llorença. Et c’est le choc !

Ce n’est pas une femme, ni même un être humain qui arrive, mais bel et bien une déesse, une gravure de mode, un avion de chasse, un canon, un top-model … appelez-ça comme vous voulez, mais aucun mot, du plus noble au plus trivial, ne saurait la décrire. J’ai littéralement le cœur qui bondit dans la poitrine (vous savez un peu comme quand vous ratez une marche, mais c’est pour tout autre chose à ce moment précis ^^).
Je ne saurais comment vous la présenter tant les mots seront insignifiants et ne sauraient définir sa sublime beauté, son charme incroyable. Même les photos ne peuvent complétement lui rendre grâce. Elle est fine mais pas maigre, élancée mais pas dégingandée quoique guère plus grande que moi, bronzée mais pas cramée, un visage d’ange qui est la définition même du mot « charme ». Doux, fin, bien dessiné, de belles lèvres roses ni trop petites ni trop grosses et qui dessinent une parfaite petite vague, des paupières fines et allongés et des cheveux bruns tenus par une longue queue de cheval posée haut sur la nuque (coiffure qui me fait particulièrement fondre). Et des yeux … mon Dieu … je les découvre lorsque, après un moment où elle aussi semble me dévisager et hésiter, (elle ne devait peut-être pas s’attendre à une métisse) elle retire ses lunettes de soleil et se penche sur moi pour me faire la bise. Des yeux …. verts émeraudes, puissants, vifs, et irisés tout autours de la pupille d’une fine ligne noire. Pour dire clairement les choses, je n’ai jamais, et sans doute jamais plus, rencontré des yeux pareils, un regard aussi … magnétique tant ces yeux sont hors norme, envoutants. Pilar a dû apercevoir mon trouble car elle lance « eh oui, ça fait toujours ça la première fois qu’on croise ma soeurette » (mi « hermanitita » ou « tita » comme elle l’appelle toujours) avec un petit sourire en coin. Llorença nous répond que ce n’est pas toujours une bénédiction car ces yeux sont particulièrement sensibles à la lumière et aux changements de luminosité, ce qui la force à garder ses lunettes de soleil pratiquement partout. Cela étant, je serais prête à vivre avec ces inconvénients pour avoir de tels yeux !
Elle a une voix doucement grave, ce qui contraste avec l’extrême féminité de son corps, et cela ajoute un charme encore plus fort à tout son être. Et elle parle doucement, ce qui est plutôt rare et précieux chez une Espagnole !

Nous repartons rapidement pour la villa où nous attendent nos amies. A un moment, je prends le relais pour tirer la valise que tenait Llorença, et ma main effleure la sienne. Elle n’y prête pas attention, mais de mon côté je sens un frisson parcourir tout mon corps.

Nous finissons par rejoindre les copines et le week-end « nana » peut démarrer. Commence alors une folle journée, où vont s’enchainer baignades dans la piscines, tapas, cocktails, discussions enfiévrées (essentiellement autours du même thème : P ). La présence de Llorença et d’une autre amie dont je découvre à cette occasion qu’elle aussi est passée du goût des hommes à celui des autres, me désinhibe (aidée sans doute par les nombreux cocktails et le vin rouge) et nous discutons autant de mecs que de nanas.
Cependant tout au long de la journée je ne peux m’empêcher de poser mes yeux sur la jeune sœur de Pilar. Elle est tout simplement incroyable de beauté en maillot de bain. Personne ne peut rivaliser, pas même Pilar qui est pourtant une très belle femme. Ses seins sont particulièrement bien faits, ni trop gros ni trop petits, parfaitement arrondis en dessous et dessinant une magnifique courbe au-dessus. Quant-à sa chute de reins et ses fesses, je n’ai rien d’autre à dire que « parfait » ! Elle est vraiment la plus belle femme que j’ai jamais vue, clairement. J’ai beaucoup de mal à ne pas la regarder avec trop d’insistance.
Il faut dire que nous passons une bonne partie du temps ensemble, car avec elle aussi je partage beaucoup de points communs. L’amour de la Margarita d’abords, qui nous fait trinquer à de nombreuses reprises, la pratique du pilate (que j’ai découvert avec Joëlle ma tendre qui m’a fait découvrir le plaisir entre femmes), la musique, le sport ou encore la mode. Et c’est d’ailleurs à propos de robes et de jupes que les choses vont prendre une tournure « surprenante ».

Alors que je ressorts pour la énième fois de la piscine et que j’allais me sécher, Pilar annonce à l’assemblée que nous allons bientôt arroser officiellement ses 40 ans et que les bulles allaient être versées (au Cava catalan, ici pas de Champagne). C’est l’heure d’enfiler nos plus belles tenues. Enfin « belle », je me rends compte en regardant les premières à s’être changées que mon petit chemisier et ma jupe blanche toute simple vont faire pâle figure à côté des magnifiques robes fendues, dos nus ou autres tenues de soirée chic. On est en Espagne ici, et l’élégance n’est pas un vain mot !
Et par-dessus tout, ma belle Llorença est vétue d’une jolie robe verte, juste moulante ce qu’il faut sans être vulgaire, avec un décolleté qui mets en valeur son corps parfait. Même si je sais que cela ne sera même pas remarqué par Pilar, je glisse un petit mot à l’oreille de sa cadette pour lui dire ma gêne de ne pas être à la hauteur des autres. Elle me regarde surprise, me déshabillant des yeux avec insistance : « Mais non tu es parfaite comme ça, de toute façon, quel que soit ta tenue tu seras magnifique. » Pfff tu parles, j’ai quand même honte lui répondis-je. En éclatant de rire (un rire magnifique, si pur … je ne dois pas être objective mais franchement, elle n’a pas de défaut :P ) elle me propose alors d’aller regarder dans le dressing commun aux 3 sœurs pour voir si une autre tenue me permettrait de me sentir moins gênée. Je la suis volontiers, curieuse, même si je doute de trouver quelque chose pour y glisser mes petites rondeurs. Nous ne sommes pas tout à fait taillées pareilles, les 3 sœurs et moi.

Llorença m’entraine par la main à l’étage dans le grand dressing en L qui donne sur les 3 chambres des filles. Effectivement il y le choix, et je me retrouve vite en sous-vêtement a essayer plusieurs tenues. Comme je le craignais, certaines ne sont clairement pas adaptées à ma morphologie. Mais cette situation, ce tête-à-tête avec la belle, sa robe, moi en sous-vêtements devant elle, nos rires et nos regards qui se croisent de plus en plus souvent, tout ceci commence à me plaire et à faire chauffer une douce boule au creux de mon ventre, sensation que je connais bien. A un moment, devant un autre échec avec une belle robe à manches fourreaux tout en dentelle, je finis par taquiner mon amie en lui disant qu’elle fait exprès de me donner des robes trop justes pour me voir me tortiller dedans et se moquer de moi. Elle prend alors un air très sérieux qui me surprend, et, se penchant vers moi, elle me glisse en anglais « ce n’est pas pour me moquer, mais pour t’admirer », et elle me dépose un doux baiser dans le cou. Je pousse un petit « oh » de surprise (et de plaisir) et je plonge mes yeux dans les siens : j’ai cinquante-milles images de film qui me passent dans la tête en 2 secondes, mais je me contente de lui répondre « coquine » avec un grand sourire. Elle me le rend avec un clin d’œil, et je finis par jeter mon dévolu sur une belle robe rouge découpée sous les seins, qui m’autorise à y glisser ma poitrine mes petits poignets d’amour. Plutôt simple mais habillée, et juste assez sexy pour sentir le regard de ma belle Llorença me dévorer. J’avoue que mon petit effet me fait un plaisir immense, et commence à allumer dans mon entrejambe un feu que je vais devoir essayer de garder éteint toute la soirée. Mais pour ne rien « arranger », ma belle me rattrape juste avant de sortir du dressing et me glisse un rapide baiser sur les lèvres. Cette fois, plus aucun doute sur ses intentions.

Je redescends ravie les escaliers, et lorsque Pilar aperçoit sa petite sœur qui me suis, je suis persuadée de la voir échanger avec Alba un regard amusé.

Nous portons un toast à mon amie, et la soirée repart de plus belle. Au fur et à mesure qu’elle avance, mes échanges avec Llorença se font plus proches, plus charnels. Elle me masse la nuque, je lui chatouille les hanches, elle me passe la main dans les cheveux, nous trinquons en croisant les bras, bref, cela fleure bon le flirt d’adolescentes et nous finissons par ne plus cacher notre attirance. Il faut dire que les autres invitées ne font rien pour nous en dissuader. Elles connaissent nos préférences et sont plutôt amusées de nous voir l’une et l’autre comme ça.
Vers 1h du matin arrive ce qu’on appelle là-bas « la hora valenciana », ou « l’heure valencienne ». C’est le moment où tout le monde se jette à l’eau dans la piscine. C’est un joyeux bazar ponctué des cris aigus d’une douzaine de nanas folles-dingues et passablement alcoolisées. J’en profite pour me glisser vers ma belle et alors que je l’enlace sous l’eau par la taille, une amie – Lourdes, une rousse au tempérament bien trempé – nous lance en rigolant « et alors, c’est pour quand ce baiser, on l’attend tous » (bon, elle l’a dit en dialecte valencian, je n’ai pas tout saisi sur le moment, mais le résultat a valu toutes les traductions). Et voilà comment ma déesse espagnole m’a – véritablement- embrassée pour la première fois. Ses lèvres si chaudes, si douce envahissent littéralement tout mon être. Ce baiser n’atteint pas que ma bouche, mais c’est bien mon corps tout entier qui s’embrase au contact de ses lèvres. Un tonnerre d’applaudissement nous environne d’un seul coup, et tout le monde éclate de rire. Le grand sourire sur le visage de mon amie Pilar m’indique qu’elle n’est clairement pas vexée de la situation. Elle m’a avoué depuis qu’elle rêvait depuis un moment déjà de me présenter sa sœur, qu’elle désespérait de voir célibataire alors qu’elle a autant de charmes et de qualités, et qu’elle pensait (à raison ^^) que ça pourrait parfaitement coller entre nous. Je ne la remercierais jamais assez de ce cadeau du ciel, le plus beau au monde qu’on puisse faire à une amie.

Bien évidemment, même si la chaleur qui envahissait ma belle et moi ne demandait qu’à exploser, nous avons su rester sages devant les autres. La piscine s’est de nouveau transformée pour nous en terrain de jeux immatures et imbéciles, tous plus amusants les uns que les autres.

Malgré tout, mon désir d’aller plus loin avec Llorença finit par prendre le dessus. Et c’est moi cette fois-ci qui pris les choses en mains. Ayant pris un peu de repos avec les cocktails et me sentant de nouveau maitre de moi-même, je glissais à ma chérie un ordre dont le ton mi amusé mi catégorique, lui a tout de suite fait briller l’œil. Il était temps pour nous deux d’aller nous rincer sous la douche. Sans attendre je la pris par le poignet et la força à me suivre à l’étage. Enfin, forcer est un bien grand mot, car c’est elle qui arriva la première.

Fermant prestement la porte à clé de la salle de bain et battant sans doute le record du monde d’enlevage de maillot de bain, nous voilà, enfin, nues l’une en face de l’autre dans la grande douche italienne (qui bizarrement est immense mais ouverte aux 2 extrémités et placée en face du grand miroir … c’est un peu original …). Cette fois je n’en peux plus et c’est moi qui me jette sur ses lèvres. Notre baiser est véritablement celui de la passion et du désir. Nos langues se mélanges, elle suce mes lèvres, je mordille sa langue, tout ce qui nous passe par la tête dans ce moment de folle passion est accepté avec bonheur par l’autre. Bien vite nos mains se mêlent de la partie et je commence à lui caresser le dos, le haut des seins, les hanches. Ca ne semble plus lui suffire et c’est elle qui finit par m’empoigner la main droite et la poser directement sur son sexe. Alors comme ça, tu veux que je te fasse grimper aux rideaux (de douche), eh bien tu vas être servie (en toute modestie bien sûre, mais je commence à avoir un peu d’expérience des femmes).
Mes lèvres descendent sur tout son corps, j’embrasse chaque centimètre de sa peau, mon dieu qu’elle sent bon (malgré la piscine), qu’elle est douce. Je dois lui répéter toutes les 10s qu’elle est magnifique. Mes doigts se glissent le long de son sexe épilé, doux mais trempé. Je joue avec elle, avec ses émotions, son désir. Je rentre un index, puis je pars jouer ailleurs. Mes mains remplacent ma bouche sur ses seins, je glisse mon visage entre ses cuisses, agacent son bouton en l’effleurant du bout de ma langue, je poursuis sur ses cuisses. Elle gémit de plus en plus, elle parle beaucoup, me décrit tout ce qu’elle ressent et ce qu’elle veut (je ne comprends pas tout, avec mon espagnol encore limité, mais je m’en fiche, l’amour est un langage universel et son souffle parle pour elle). Je ne lui concède ses envies qu’à petites doses. Je veux qu’elle me supplie de l’achever.
Ce que je finis par faire au bout de longues minutes. D’un seul coup, je plaque ma main droite sur son sexe et glisse 3 doigts que je remonte profondément en elle. Elle pousse un râle de plaisir, et je commence un rapide et violent va et vient, mon pouce frottant au passage son clitoris. En quelques secondes, elle se cambre, se met littéralement à vibrer et s’écroule sur ma main en poussant un long soupir de jouissance. Je n’ai jamais vu d’orgasme aussi fort (et j’en suis toute fière ^^). Elle s’écroule contre le mur de la douche. Totalement anéantie de plaisir. Je comprends qu’elle n’a plus aucune force, et je me caresse vigoureusement devant elle, une main sur mon sexe et l’autre jouant de l’autre côté. Très vite je sens l’orgasme monter, et au moment où je vais jouir, ma belle reprend des forces et vient plaquer ses lèvres contre les miennes. Mon râle de bonheur s’étouffe ainsi dans sa gorge, c’est un vrai conte de fée. Nos yeux se croisent, s’aimantent, je ne peux m’arracher à ce regard incroyable, le plus beau du monde, et qui à cet instant, brille de bonheur.

Nous avons fini par reprendre nos esprits et remarqué que … nous n’avions même pas pris la peine de faire couler l’eau de la douche ! C’est toujours ça de fait pour la planète …

Au moment de ressortir de la salle de bain et rejoindre le monde des vivants, nous nous sommes encore embrassées, passionnément. Et ma belle chérie m’a lâché alors ces mots, les plus beaux qu’ils soient : « si eso no es amor … ».

Depuis, nous filons le parfait amour, même si ces derniers mois nous sommes loin l’une de l’autre car je dois finir mes études en France. Nous nous permettons, d’un commun accord, quelques écarts, mais réduits, et nous avons déjà tout de prévu pour emménager ensemble au printemps prochain.
Voilà comment notre rencontre, et notre première fois, a eu lieu. Je ne suis certainement pas objective, mais je trouve que c’est une histoire, à hauteur de l’amour que nous nous portons. Elle m’avouée elle aussi avoir eu un véritable coup de foudre en me voyant (qui l’eut cru).
Je ne crois pas encore à ma chance : être aimée par la plus merveilleuse et la plus belle femme dont je puisse rêver ! Un jour peut-être, je vous montrerai que je ne mens pas ! :D

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Commentaires de la confession :

Phil
À nouveau, vous me bouleverser jusqu’au plus profond de mon cœur! Soyez heureuse et amoureuse. Cela vous va trop bien ! Bisous ????
Posté le 3/01/2022


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