Juliette et son beau-fils, se font surprendre par l'arrivée de Raymond et de son copain Claude. Échaudé, le mari est groggy, mais comprend l'altitude de sa femme.
Proposée le 22/01/2022 par jeane1
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Thème: Extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Raymond, reste un moment groggy puis, comprend son cocufiage. Il reconnait face à son ami Claude, de ne plus être trop présent sexuellement. Il dodeline de la tête en signe de regret et ajoute en regardant le couple qui n'a pas bougé d'un millimètre :
- Je ne peux qu'approuver ma chérie, prends ton bonheur ou tu le trouves, moi je ne suis plus capable de t'honorer !
Claude regarde Raymond en faisant une légère moue puis, l'interroge :
-Tu acceptes que ta femme baise avec m'importe qui, tu n'es pas jaloux ?
- Avec des tremolos dans la voix, Raymond lui répond :
- D'ailleurs mon fils, ce n'est pas n'importe qui, c'est comme si c'était moi qui la saute, il est de mon sang !
-Oh la vache, tu prends ça bien toi, moi les voir à poil, me fait monter la queue !
Réplique Claude, qui ne cesse de regarder les deux amants tétanisés. C'est avec un ton désabusé que Raymond réagit :
- Tu sais au point ou j'en suis, si le cœur t'en dit, tu peux te joindre à eux, je suis certain qu'ils n'y verront aucun d'inconvénient et moi voir ma femme prendre du plaisir, me fera un grand bien?!
Juliette écarquille les yeux, elle dévisage son mari, en se demandant s'il est sérieux. Raymond lui fait un sourire presque forcé et dit :
-Ne te prives pas ma chérie, fais-toi plaisir !
Juliette ne sait que répondre à cette proposition presque indécente, elle regarde son beau-fils, avec un air hébété. Le coquin lui fait un gros clin d'œil. Juliette ne sait plus ou se mettre, elle rosit en fixant du regard Claude. Le bougre est souriant, il pose sa main sur son sexe, il se cambre pour montrer à Juliette la bosse qui commence à déformer son pantalon. Juliette se met à trembler lorsque Claude s'avance vers elle. Elle regarde avec angoisse son mari qui prend place dans un confortable fauteuil. Il l'encourage :
- Donne-toi à lui ma chérie, ne sois pas timide, vas-y !
Juliette pas rassurée, ravale sa salive. Logan lui, se caresse la verge, le jeunot n'en a pas encore assez. Il regarde la chatte encore ouverte de sa belle-mère, qui laisse échapper un petit filet de liquide blanchâtre. Claude dans la foulée, retire rapidement ses frusques, il exhibe sa queue devant Juliette et Logan. Juliette regarde avec un peu de fébrilité, le membre qui ne cesse de prendre du volume. Claude se masturbe pour donner à sa queue un maximum de volume. Logan demande à sa belle-mère de se mettre à quatre pattes. Juliette, n'a plus le choix elle ne peut que céder aux exigences des mâles. Elle prend la pose demandée et offre vulgairement sa croupe. Logan commence à caresser la chatte dégoulinante, ses doigts s'enfoncent dans la fournaise. Juliette se remet à geindre.
Claude repousse Logan et prend place, derrière la femme soumise. Il frotte sa verge contre la chatte en surchauffe et d'un coup de reins enfonce son engin jusqu'aux couilles. Juliette erre les dents, le bougre est bien monté, il lui dilate le vagin plus que Logan ne la fait. Elle pose sa tête sur le sol entre ses bras. La croupe ainsi bien relevée, offre plus d'aisance a la queue qui voyage en elle. Le mandrin de Claude entre et ressort, en prenant de la vitesse. La chatte laisse entendre un bruit de succion à chaque aller et retour du membre en elle. Logan lui triture les mamelons, il prend plaisir à les étirer le plus possible, il aime entendre gémir sa belle-mère.
Le pilonnage produit son effet, Juliette se cambre et jouit comme une fontaine. Claude la démonte sauvagement, la sève monte dans son baobab, il serre les dents. Logan s'étend sur le sol, il propose à Claude de faire une doublette. Le chaud de la lance accepte en souriant, il retire son gourdin du ventre de Juliette et l'invite à s'empaler sur la queue de son beau-fils. Raymond sursaute et dit en arborant un large sourire :
-Oui éclatez lui les deux trous en même temps, cela va être une première pour elle, oh là je veux voir ça !
Elle enjambe Logan, c'est Claude qui dirige la queue du jeunot. Le gland appuie sur les grandes lèvres et s'engage dans le conduit brulant. Pour que la soumise soit bien empalée, Claude appuie de toutes ses forces sur les épaules de Juliette, qui s'empale entièrement. Elle pousse un long râle. Les couilles de Logan butent contre sa chatte. Logan la plaque contre son torse. Claude s'agenouille derrière elle et lui enduit l'anus de salive. Juliette pousse un petit gémissement, lorsque deux doigts s'enfoncent dans son rectum pour l'assouplir. Claude lui travaille le cul comme un pro, ses doigts tournent dans l'étroit conduit et le dilate un peu. Enfin, il est temps de passer à l'action.
Claude pose son gland contre la rosace brune. Il s'accroche aux hanches de Juliette et pousse. Juliette grimace elle ouvre la bouche toute grande, mais aucun son n'en sort. Le gland monstrueux s'enfonce lentement dans son rectum. Juliette a l'impression que son cul se déchire. Irrémédiablement, le membre s'enfonce en elle totalement. Prise par les deux orifices, Juliette souffle fortement, pour atténuer la douleur anale. Elle s'accroche à Logan comme une bête sur sa proie.
Progressivement la douleur s'estampe, les queues peuvent enfin commencer à entrer en action. Les verges, qui agissent comme deux pistons, arrachent à Juliette des râles terribles. Les deux soudards la défoncent comme des rustres, les queues puissantes lui labourent les entrailles. Juliette bien distendue par les engins commence à agiter son bassin. Maintenant elle monte et descend sur les pales, en gémissant de plaisir. Les assauts violents veulent lui faire rendre gorge. Juliette est au bord du coma, elle pousse un hurlement et jouit du cul pour la première fois de sa vie. Les deux amants s'acharnent sur elle, ils accélèrent la cadence, Juliette n'est plus qu'une bête à jouir. Elle se tord sur les membres en grimaçant. elle jouit de nombreuses fois. Raymond est aux anges, il dit surexcité :
-Démontez-la bien mes cochons, faites la jouir encore, mon Dieu comme ma chérie jouit bien, c'est merveilleux !
Les deux hommes ne rechignent pas à la tâche, ils lui bourrent les trous sans un seul arrêt. C'est presque en même temps, qu'ils envoient leur semence épaisse dans les entrailles de Juliette qui jouit à nouveau. Gavé de semence, Juliette se laisse tomber sur le côté.
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