Mariette, est mère supérieure dans un couvent très stricte, elle adore soumettre les sœurs à ses volontés perverses. Elle invite souvent le moine Ulrich pour qu'il assiste. Au dressage des rebelles comme elle dit. Il faut dire qu'elles sont toutes volontaires.
Proposée le 20/01/2022 par linsee
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Thème: Pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
C'est un couvent réputé pour ses débordements, toutes les de sœurs sont volontaires, elles viennent de leur plein gré subir les sévices sexuels. Il est presque Vingt-et-une heures. Pour assouvir ses sbires, c'est l'heure favorite de Mariette, elle attend avec impatience l'arrivé d'Ulrich dont la réputation n'est plus à faire. Mariette est une vieille mère supérieure qui frise les 77 ans. Les sœurs sont un peu inquiétées, car le moine ne va pas tarder à arriver, elles savent que certaine d'entre elles vont subir les délires pervers de la mère supérieure et de son complice Ulrich. Mais les coquines espèrent que le sort les choisira, parce qu'elles sont là pour cela. Personne ne sait à l'avance, qui sera choisi.
L'homme en bure arrive à l'heure précise. C'est un petit homme grassouillet. Il entre directement dans le bureau de Mariette. Les deux en sortent quelques minutes plus tard. Mariette tient en main une clochette qu'elle agite fermement. Les Sœurs sortent rapidement de leur cellule et se rendent au réfectoire. Toutes sont inquiètes, elles n'osent pas dire un mot, car la règle est de ne pas parler, sinon ce sont des représailles brutales qui vont s'abattre sur elles.
Elles sont toutes alignées et font face au deux maitres des lieux. Mariette, passe devant en les regardant de haut. Elle désigne du doigt ses proies. Elle opte pour une novice fraichement arrivée et une ancienne, qu'elle ne peut pas blairer. L'ancienne sait que cela va être terrible pour eux surtout pour elle. Toutes les sœurs entrent dans une grande salle. Certaine sont déçues de ne pas avoir été choisies.
La salle, les nones la connaissent bien, c'est là que les délires pervers ont lieux. Elles prennent place dans les gradins. Les deux victimes sont poussées au centre de la pièce. Ulrich fait le tour des deux nones, il arrache brutalement les robes, les sœurs se retrouvent entièrement nues devant le public improvisé. La vieille est allongée sur un banc, Ulrich prend soin de lui menotter les poignets et les chevilles aux pattes du banc. Le banc est large, il oblige la vieille sœur à avoir les jambes largement écartées. Mariette, lui caresse la touffe de poils et tire dessus fortement cela fait hurler la sœur. Pour la faire taire le moine la gifle plusieurs fois. Les yeux de la sœur s'emplissent de larmes.
Mariette, lui enfonce ses doigts crochus dans la chatte et fouille profondément le vagin. La sœur se cabre et se met à geindre. Le moine s'empare d'un martinet, il fait glisser les lanières de cuir sur les seins de la none. La vieille a deja subi ce traitement, elle adore ça. Elle regarde Ulrich et lui dit d'une voix forte :
-Alors qu'est que tu attends, frappe donc lopette !
Un peu vexé, le moine commence à flageller les seins de la vieille qui couine comme une truie qu'on égorge. Les seins se strient de marques rouges, mai étrangement, les bouts prennent du volume. Mariette enfonce cinq doigts dans la chatte de la vieille salope, elle les tourne en poussant fortement. La none grimace, elle pousse un long râle lorsque la main entière disparait en elle. Elle hurle :
-Oui, oui vieille gouine, pousse plus loin vas à fond bon dieu, arrache-moi la chatte !
Mariette sourit, elle ferme le poing et ramone la chatte de la demandeuse, Ulrich jette le martinet, il s'approche de la jeunette novice et la place sur une croix de saint André, également elle est menottée. Il revient sur la vieille qui ne cesse de vociférer. Il lui pétrit les seins avec force, il tire sur les mamelons en les écrasant en même temps. La none grogne, elle se cabre et hurle :
- Mais putain, plus fort frappe mes seins arrache-moi les bouts !
La main de Mariette lui dévaste la chatte, elle tourne la main, elle sait que la maso va bientôt jouir. Soudain elle lui enfonce quatre doigts dans l'anus et le ramone comme une sauvage. À travers la fine paroi, qui sépare les deux orifices, elle peut presque saisit sa main qui coulisse dans la chatte. La vieille ne se retient plus elle s'agite comme une malade. Elle s'arque boute et jouit terriblement. Mariette lui fouille encore les orifices. Ulrich remonte son aube de bure et lui donne sa queue à sucer. C'est avec avidité que la goulafre lui tète le gland. Pendant qu'elle le suce le moine s'acharne toujours sur ses seins. Mariette tente d'enfoncer cinq doigts dans l'anus de la none, elle pousse tellement fort que toutes les phalanges entre dans le rectum. La vieille se cabre, mais ne lâche pas la queue du moine. Ulrich pousse un grognement de bête et remplit de son sperme, la bouche de la suceuse, qui avale toute la semence.
La none fouillée comme jamais, jouir encore une fois en grognant de plaisir. Enfin on détache la vieille none qui remercie ses deux amants. Maintenant les regards se posent sur la novice.
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