Prise d'une excitation extrême, j'ai joui en sodomisant mon mari avec un gode ceinture. Il m'avoue que souvent il se sodomisait dans la douche avec la bouteille de gel douche. Je lui réserve une surprise pour le week-end.
Proposée le 24/01/2022 par amandine
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Thème: Sodomie
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
J'ai été surprise, après avoir sodomisée mon mari, lorsque celui-ci, m'avoua, qu'il se sodomisait avec la bouteille de gel douche, dans la salle de bain et qu'il en obtenait des orgasmes terribles. Après une bonne douche, Milan et moi nous montons nous coucher, j'enfile ma nuisette et m'allonge dans le lit en pensant à ce que le coquin m'avait raconté. J'ai été perturbée une partie de la nuit., je dois avouer que cela m'a même émoustillée. J'imaginais Milan empalé jusqu'aux couilles par un autre homme qui le besognait sauvagement. Pendant mon délire imaginaire, ma chatte, c'est mise à mouiller.
Milan dormait profondément à côté de moi. Je passe ma main sous ma nuisette sur ma chatte brulante et la caresse en ayant toujours l'image de mon mari se faisant démonter par un homme monté comme un âne. Mes doigts s'activent sur mon clito, mon imagination fertile fait résonner dans ma tête les gémissements de mon mari., qui prenait un pied d'enfer. Ma jouissance arrive, je me mords la main, pour ne pas réveiller Milan par mes cris de jouissance.
Le lendemain au réveil, j'élabore un plan. Je cherche sur le net des hommes intéressés par d'autres hommes. Je tombe sur deux blacks, leurs photos me laissent béate. Ils ont chacun une verge monstrueuse, en pleine érection, elle est grosse comme mon poignet, elle est plantée sur le bas-ventre entièrement rasé. De gros testicules impressionnants pendent entre leurs jambes. Je les contacte, coup de chance, ils sont disponibles pour samedi, je garde le secret.
Le samedi matin, Milan est dans la douche. Je suis curieuse, car d'après ses dires, le bougre adore jouer avec son anus. J'en veux en avoir le cœur net. J'ouvre doucement la porte de la salle de bain, mon mari, me tourne le dos. Il est accroupi, dans son postérieur et enfoncé. Ladite bouteille de gel, il agite sa croupe et descend le plus possible. La bite factice, s'enfonce au trois quarts dans son rectum. Mon mari se met à geindre, son corps monte et descend sur le membre improvisé. Son anus est dilaté atrocement. Mon Dieu on ne voit que le bouchon de plastique qui dépasse de son orifice anal. Mon sang bout dans mes veines, ma chatte s'inonde. Je ne me connaissais pas voyeuse, mais cela se confirme. Sans toucher ma chatte, je jouis comme une dingue en étouffant mon orgasme en me mordant la main jusqu'au sang. Heureusement mon mari trop occupé à gémir, na rien entendu.
Je sors de la salle de bain et reste un peu devant la porte ouverte. J'entends un hurlement, Milan vient de jouir comme une bête. Soudain l'on sonne à la porte d'entrée. Je vais ouvrir, ce sont les deux blacks. Ils me sourient et se présentent., je leur chut avec mon doigt, je les invite au salon et leur dit que mon mari se trouve à la salle de bain et qu'il prend du plaisir. Je souligne aussi qu'il n'est pas courant de notre marché. Les deux veulent lui faire une surprise, ils ôtent leurs vêtements et je les dirige vers la salle de bain sans faire le moindre bruit.
Les deux restent ébahis devant le spectacle. Mon mari agite la bouteille dans son fondement, son anus distendu reçoit l'objet de plastique sans faillir. Un des hommes toussote. Mon mari se retourne, il retire la bouteille et se redresse. Il est rouge de honte, il ne sait que faire de la bouteille, ses mains tremblent. Ses yeux sont braqués sur les membres qui se tendent comme par miracle. J'interviens :
-Mon chéri, c'est un cadeau pour toi, profites-en, tu vas aimer j'en suis sûr !
Il bègue un peu en me répondant :
-Quoi, un cadeau pour moi ma chérie ?
-Oui mon amour, éclate-toi bien avec, emmène les au salon !
Nous nous retrouvons les quatre au salon. Je prends place dans un fauteuil et attends. L'un des hommes enlace mon mari et lui roule une pelle formidable, les langues se mêlent en faisant un bruit de clapotis. L'autre se masturbe je suis impressionnée par les manches monstrueux qu'ils possèdent. Le baiser cesse, le black appuie sur la tête de mon mari qui doit se baisser sous la forte pression des mains sur sa tête. Ses lèvres tapent sur le gland d l'homme, qui lui demande de le sucer. Milan ouvre la bouche, mais, c'est en vint, le gland est bien trop gros et sa bouche trop petite. Il lèche le volumineux engin qui laisse échapper quelques gouttes de liquide visqueux. Sa langue tourne sur le gland à la recherche des perles au gout suave. Je découvre que mon mari adore lécher faute de sucer, la queue de l'homme.
L'autre se place derrière lui et frotte son gland contre son anus encore ouvert. Il s'accroche à ses hanches et pousse fortement. Mon mari se cabre en poussant un cri monstrueux. La verge qui s'enfonce lui distend la gaine anale. Milan serre les dents, l'autre black lui donne des coups de queue sur les joues, il s'en sert comme d'une matraque. Mon mari a l'air d'aimer ça, car il ne cherche pas à les éviter. L'homme qui l'encule souffle comme un animal. Il donne de violents coups de reins ses couilles butent contre les fesses de mon mari. Le gredin commence à couiner. Le cul bien dilaté par la queue hors norme, mon mari agite sa croupe de salope soumise. Jamais je n'aurais imaginé qu'une queue aussi grosse puisse entrer profondément dans le cul de mon mari. Le coquin grogne de plus en plus fort. Soudain, il pousse un cri.
Sa queue envoie sur le sol plusieurs jets de spermes, mon mari en veut encore, il agite son corps en grognant et dit :
-Encore n'arrête pas défonce-moi bien !
Le black tire fortement sur les hanches de mon mari et envoie deux décharges monstrueuses de sperme, en rugissant comme un lion. Les décharges et si puissantes que mon mari se cabre. Le black retire son gourdin et fait tomber à quatre pattes mon mari. Il lui caresse l'anus que reste béant. Il fait un clin d'œil à son complice. Il se place, derrière et lui enfonce sa main dans les entrailles. Mon mari pousse un cri, il se tord de douleur, la main tourne dans son rectum, elle s'enfonce de plus en plus loin. Le black commence un ramonage violent, Milan a les yeux remplis de larmes. Plus l'homme le fouille profondément plus il ouvre la bouche.
J'ai ma culotte trempée, je retrousse ma jupe et écarte ma culotte, mon clito est gonflé comme une grosse noisette, je le saisis et le branle énergiquement, en regardant mon mari geindre de plaisir sous le fist brutal de son amant. La main entre et ressort rapidement du trou dilaté, le black grogne comme une bête :
-Jouis, jouis salope oui je sens que ça vient vas-y jouis, jouis !
Mon mari se cabre en hurlant sa jouissance est terrible. C'est la première fois que deux hommes s'occupent de son cul. L'homme satisfait de lui retire sa main et regarde le trou dévasté et dit à son pote :
-c'est le moment frérot !
L'un des deux enculeurs s'allonge sur le sol et ordonne à mon mari de s'empaler sur sa grosse queue. Milan le fait volontiers, il s'empale sur le monstre qui s'enfonce facilement dans le trou ouvert comme jamais. L'autre s'agenouille derrière, lui et place sa queue contre celle de son camarade. Il longe la queue gorgée de sang et il l'enfonce dans l'anus deja occupé de Milan qui pousse un cri terrible. Les deux queues lui distendent l'anus au maximum, mon mari souffle fortement. Moi, je suis brulante de voir les deux engins monstrueux, dévaster le cul de mon mari. Les deux boas entrent en action, les coups de reins font gueuler mon mari.
Il grogne, en me regardant, il dit entre deux souffles :
-Putain ma chérie ils m'éclatent, mon Dieu, comme c'est bon !
C'est l'anus presque déchiré que mon mari jouit plusieurs fois de suite, ses giclées deviennent de moins en moins importante, la source se tari peu à peu. Les deux s'acharnent, ils le démontent, comme des monstres. Ils lui remplissent l'intestin de semence épaisse quasiment en même temps. Moi, je me branle comme une malade, je me raidis et jouis terriblement fort. Enfin, mon mari reste sur le sol épuisé. Il me regarde en me disant faiblement :
-Merci mon amour, je ne suis pas prêt d'oublier ce cadeau !
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