Nouveau dans le quartier.

Lucie en partant faire ses courses, croise un jeune homme qui promène son chien, ils échangent quelques mots et sympathisent rapidement. Il lui dit qu'il habite dans le quartier depuis peu, elle lui répond en souriant qu'ils sont presque voisins.

Proposée le 3/02/2022 par lounabelle

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Thème: Couple
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Lucile, se dirige vers la supérette non loin de chez elle, elle croise sur son chemin un jeune homme qui promène son chien, un berger un malinois, une bête magnifique. L'animal impressionnant, se met à la flairer et commence à lui faire fête. Lucile pas très rassurée, à un geste de recul. Le jeune homme, la rassure en lui souriant :

-C'est une brave bête, d'ailleurs elle vous aime déjà, elle vous fait la fête !

Timidement, Lucile caresse le chien et, regarde le jeune homme. Il se passe quelque chose en elle, sa gorge se noue, elle est troublée pour le jeune homme qui ne cesse de lui sourire. C'est lui qui entame la conversation. Il lui dit :

- Cela fait quelques semaines que j'habite avec ma compagne dans le village pas loin d'ici d'ailleurs !

Lucile lui répond :

-Nous sommes donc presque voisins, moi, j'habite au bout de la rue !


Lucile ressent un sentiment étrange pour le jeune garçon. À chaque fois qu'elle croise son regard son cœur s'emballe. Ils se saluent puis, chacun poursuit son chemin. Pendant ses courses, elle ne pense qu'au jeune homme et cela la trouve énormément. Il pourrait être son fils, il a environ 25 ans, elle 55. Chaque jour, Lucile fait le même chemin dans l'espoir de rencontrer le jeune inconnu. Un jour, bingo. Elle le rencontre dans la supérette. Son sang ne fait qu'un tour, ils se saluent puis papotent un instant ensuite se séparent. Les courses faites, comme un heureux hasard, ils se retrouvent à la sortie du magasin. Lucile porte deux gros sacs de provisions. En bon samaritain, il propose de l'accompagner jusqu'à chez elle, en l'aidant à porter les sacs encombrants.

Elle lui sourit et accepte l'aide providentielle. Une fois près de chez elle, elle l'invite à prendre un verre pour le remercier de sa bonté. Comme de vieux amis, ils discutent de tout et de rien, mais à chaque fois que les regards se croisent, son cœur se serre. Quelques fois involontairement leurs mains se frôlent, pour prendre quelque chose sur la table. Lucile frémit, elle s'émeut comme un jeune ado qui flirt pour la première fois. Elle ne peut dire un mot, sa gorge ne laisse sortir aucun son. Ken sent qu'il y a quelque chose d'étrange, il regarde longuement Lucile et lui demande :

- Il y a quelque chose qui ne va pas madame ?

Lucile ravale sa salive et répond :

-Oh ce n'est rien, surement la chaleur qui me met mal à l'aise !
Pas de madame entre nous, je m'appelle Lucile et toi !

- Moi, c'est Jérémy !

Les deux finissent par parler de leurs conjoints, Jérémy à Clarisse comme compagne, Lucile Robert comme époux. Les deux sont très ouverts, ils se confient l'un à l'autre, sans penser à mal. L'heure tourne, il est temps pour Jérémy de partir. Mais avant, Lucile l'invite avec sa compagne pour diner le lendemain soir, comme cela ils feront plus ample connaissance. Jérémy lui répond :

- Si Clarisse est d'accord pas de problème !

Avant de se quitter ils s'embrassent amicalement. Les lèvres brulantes de Jérémy sur sa joue la font frissonner. Quelque temps plus tard, Jérémy confirme qu'ils seront là. La nuit, Lucile ne pense qu'à lui, elle est toute fiévreuse, son front perle. Son mari dort paisiblement, près d'elle. Lucile est agitée, elle se tourne et retourne dans son lit en marmonnant. Elle ne trouve pas le sommeil, sa main se pose sur son ventre plat, elle fait des cercles de plus en plus rapprochés. Sa main descend lentement sur sa chemise de nuit et se plaque sur sa chatte. À travers le fin tissu, elle se caresse. Rapidement son conduit se noie, sa culotte s'humidifie abondamment. De son autre main, elle se pétrit les seins. La tension est telle qu'elle jouit. Rapidement. Elle doit se mordre la main pour étouffer son cri de jouissance.

Le lendemain après midi, elle s'affaire à la cuisine, elle ne veut pas décevoir ses invités. L'heure approche, son mari Ludovic dresse la table. Lucile s'enferme dans la salle de bain et, se pouponne comme pour un premier rendez-vous, elle est fébrile. On sonne à la porte d'entrée, Lucile sursaute, elle revêt une jupe qui lui arrive juste au-dessus des genoux et, enfile un corsage très échancré qui laisse voir la naissance de ses seins. Ludovic fait entrer les deux invités et les dirige vers le salon pour prendre l'apéro. Clarisse porte une minijupe, que son jeune âge permet, elle a sur le torse un top très ajusté qui lui moule les seins. Ludovic est tout débouilli par la beauté de la jeune femme. Jérémy, est adorable dans son t-shirt et son jeans. Ludovic, verse un premier verre. Lucile se fait attendre.

Enfin, elle apparait, elle est sublime dans ses atours. Ludovic siffle d'admiration. Jérémy et Clarisse se lèvent et la complimentent pour sa beauté. Lucile gênée par tant de compliments rougit. Les présentations faites, les quatre s'assieds autour de la table basse du salon. Le mari de Lucile, n'a d'yeux que pour la jeune femme. Le coquin, c'est mit en face d'elle, il reluque les longues jambes de Clarisse qui pour prendre son verre ou des toasts, doit faire inconsciemment des mouvements qui lui découvrent entièrement les cuisses. Elle ne porte pas de bas puisque c'est la saison chaude. Ludovic aperçoit sa culotte, il écarquille les yeux puis, avale d'un trait son verre. Les langues se délient au fur à mesure que les verres se suivent. Lucile et aux anges, elle a en face d'elle Jérémy, les deux ne cessent de se sourire. Le coquin zyeute dans le décolleté plongeant de la femme mûre, ses yeux brillent. Lucile le remarque et, se penche davantage en avant pour prendre son verre. Jérémy ne quitte pas du regard, le sillon qui sépare les deux seins. Les esprits sont échauffés par l'absorption d'alcool. Les histoires osées fusent, les rires éclatent.

Clarisse voit Ludovic se pencher. Le bougre sans gêne, regarde entre ses cuisses. Elle éclate de rire et dit :

-Oh le cochon regarde sous ma jupe !

Ludovic rougit de honte, il n'a pas le temps de se justifier, que tous se mettent à rire. Clarisse euphorique écarte les jambes et ajoute en riant à gorge déployée :

-Voilà comme cela, tu verras mieux coquin !

Clarisse reste les jambes écartées, elle boit rapidement son verre et en réclame un autre. Ludovic s'empresse de lui remplir. Jérémy regarde Lucile et lui dit :

- Et toi tu ne me montres rien, je suis sûr que tu as de belles choses cachées ?

Lucile, le regarde avec étonnement, elle frissonne et tourne la tête vers son mari, qui lui suggère en souriant :

- Eh bien ma chérie, fais ce que te demande ton invité !

Elle déglutit fortement puis, fait remonter doucement sa jupe sur ses cuisses. Tous les regards se posent sur elle. Lucile rougit elle veut rabattre sa jupe, mais un tollé de protestation se fait entendre. Elle remonte sa jupe et attend. Clarisse lui demande :

-Fais comme moi, ouvre les cuisses, fait voir ta belle culotte !

Lucile en serrant les dents, ferme les yeux de honte et, ouvre timidement les jambes. La surprise est générale, la coquine ne porte pas de culotte. Les trois restent béats devant le spectacle. Jérémy qui se trouve en face, est aux premières loges. Ses yeux s'agrandissent, le spectacle que lui offre Lucile et sublime, sa chatte bien rasée de Lucile le fascine. Ludovic se frotte les mains, il se dit que si cela continue, il va se faire la jeunette, quitte à ce que Lucile, se fasse prendre par le jeunot.

Clarisse s'avance et regarde la chatte lisse de Lucile, elle pose ses doigts dessus pour en connaitre la douceur. Elle s'esclaffe :

-Oh Jérémy, comme elle est douce touche la !

Jérémy regarde Ludovic, qui lui fait un signe d'approbation avec la tête. Lucile à toujours les yeux fermés, elle est rouge comme une pivoine. Jérémy, se penche et tend sa main vers le temple de l'amour. Ses doigts affleurent doucement les grandes lèvres de la vulve de Lucile. Elle frissonne, en se cabrant légèrement, elle se donnerait volontiers à lui, s'il le désirait. Ludovic intervient et dit en arborant un large sourire :

- Les esprits s'échauffement, il est temps d'aller diner !

Lucile rabaisse sa robe, elle est mal à l'aise, elle a le regard fuyant. Le diner succulent est très arrosé. Ludovic, l'alcool aidant, fait du pied à Clarisse, qui ouvre les jambes pour laisser le passage au pied taquin. Lucile elle ne quitte pas du regard Jérémy, il lui sourit et lui, prend la main. Lucile fond de bonheur, c'est inespéré pour elle, sa chatte se met à suinter. Il lui presse tendrement et, la remercie pour son accueil. Il lui donne quelques baisers appuyés sur le dos de la main. Lucile défaille, ses yeux s'embrument. Elle veut dire quelque chose mais, Jérémy lui pose son doigt sur les lèvres et lui fait chuuuut. Clarisse soupire fortement les orteils de Ludovic appuient sur sa chatte, une tache humide se forme sur sa culotte. Clarisse plus enivrée que les autres, réclame un digestif.

C'est le retour au salon, Lucile sert le café, son mari le digestif. Clarisse déclare, en s'essuyant le front d'un revers de la main :

-Vous ne trouvez pas qu'il fait chaud ici ?

Ludovic répond :

-Oh oui même bien trop chaud !

Le coquin attend autre chose, il ressert rapidement une autre petit verre, que Clarisse avale sans se poser de question. Elle prend le bord de sa jupe avec ses mains et s'évente. L'alcool délie les langues. Ludovic ne peut s'empêcher de dire :

- Tu as le feu au cul salope !

-Oui, oui ma chatte de salope et brulante ! Réplique Clarisse.

Lucile sursaute, pourquoi de telles paroles dans la bouche de son mari et de Clarisse. Jérémy la rassure :

- Ne t'inquiète, pas elle adore être traitée de tous les noms, ma salope de pute, moi je m'en prive pas, elle jouit plus, quand on lui parle ainsi !

- Eh toi, tu aimes que l'on te parle grossièrement pendant l'acte ?

-Je ne sais pas nous n'avions jamais essayé Ludovic et moi ! Qu'elle répond surprise par cette demande.

Ludovic dit en riant :

-Essaye sur elle Jérémy, pour voir ce que cela lui fait !

Jérémy regarde Lucile et lui dit :

-Tu veux être la pute, ma grosse salope ?

Lucile a envie d'être à lui, elle fait oui d'un signe de tête. Jérémy regarde avec une certaine inquiétude Ludovic et demande :

-C'est sérieux je peux ?
-oui tu peux, moi je vais m'occuper du cul de ta salope !

Ludovic prend Clarisse par la main et l'emmène sur le canapé.

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