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4 Orgasme anal

Dans mon processus et recherche de plaisir anal, il m’est arrivé des moments mémorables. Je vous en fait le descriptif d’un de ces moments. Histoire 4 de 22

Proposée le 25/03/2022 par Binew

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Thème: Sodomie
Personnages: Solitaire
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire

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Pour continuer dans mes péripéties anales, je fais l’essaie de différent modèle pour en connaitre leurs impacts. J’en ai appris les avantages ou inconvénient. Un modèle c’est avéré majoritairement efficace dans les tentatives. Pour le décrire, c’est un modèle avec suce à la base pour le fixer. Il est de longueur de huit pouces insérable. Le gland n’est pas trop gros. Mais il grossi linéairement pour avoir un bon deux pouces de diamètre a la base. Ce qui en fait le plus gros expérimenté. Voici une séance réussite.

J’installe le gode collé sur un objet qui le soulève. ( Cylindre de plongée déposé sur le lit ) et le lubrifie. Positionné à genoux, au-dessus de lui, je titille mon orifice avec le gland du gobe. Et pousse un peu sans trop forcer. Je profite des sensations qu’il peut me donner. Et laisse monter mon excitation. J’ajoute toujours un peu de pression pour forcer l’entrée. Sans passer le gland. Je le laisse m’ouvrir quelque peu. Il fait monter mon excitation et me donne le gout de m’empaler dessus. Mais je me retiens. Car je sais qu’il va me faire mal et j’aime faire durer le plaisir. Cependant, l’excitation m’oblige à aller plus loin. Je pousse plus fort pour essayer de gober le gland. Là la douleur vient faire partie du jeu. Plus je pousse, plus mon orifice s’ouvre. Mais plus la douleur s’intensifie. Je m’essaie à plusieurs reprises. Le bout s’infiltre de plus en plus à chaque essai. Je sens mon cul s’ouvrir mais se plaindre aussi. Mais je veux l’engloutir. Et je pousse. Je sens ma rondelle s’ouvrir et se refermer quelque peu par la suite. Signe que le gland a réussi son insertion. Je le maintiens ainsi. Il a un mélange de douleur, de soulagement et de chocs nerveux qui se sentent jusqu'à la colonne vertébrale. Doucement, les sensations diminuent. Je laisse mon anus se détendre. S’ajuster à l’étirement. Quand je me sens prêt, ou un peu forcé par mon désir, je recommence le mouvement. Je laisse ressortir celui-ci pour recommencer le processus d’entrée. Le gland recommence à ouvrir mon bouton d’amour. La douleur laisse place peu à peu à une sensation de bonheur. Chaque insertion et retrait donne des vagues de plaisirs. Je continue jusqu'à que mon corps m’oblige à en vouloir plus. A aller plus loin. A laisser la verge nervurée pénétrer mon corps. A m’ouvrir à lui. Le gobe, étant graduel, ouvrira d’avantage tout au long de la progression. Je me risque à continuer. Plus il pénètre, plus il m’enivre avec un mélange de douleur. Un mélange spécial mais pas désagréable. Je m’élève pour retirer celui-ci sans laisser sortir le gland et redescend pour une plus grande insertion. Ça forme réaliste électrise mes parois lors du mouvement. Plus je l’insère, plus il a une chaleur dans mon bas ventre. J’ai le gout de m’empaler brusquement pour engloutir complètement cette verge de plaisirs. Mais, je me retiens. Je continue la progression graduelle, ce qui me rends fou. Je continu ces vas et viens lent jusqu'à la pénétration complète. C’est le contact de mes fesses à la paroi froide du cylindre qui m’indique cette totale immersion. Je maintiens la position. La, vient une drôle de sensation. Le diamètre final ouvre mon anus pour me donner une douleur. Mais non désagréable. Mon excitation s’intensifie avec l’idée d’avoir engloutie ces 8 pouces intrusifs. Que cet objet vient jouer avec mes émotions. Comme s’il prend le contrôle de mon corps. Après une minute d’abandons graduelle, je reprends mon mouvement. La douleur disparait de plus en plus pour laisser place à du plaisir déroutant. Je cherche à comprendre ce qui me rend comme ça. Mais n’y arrive pas. Je finie par m’abandonner. J’ai des bouffées de chaleur. Un feu brule dans mon bas ventre. Dérouté par le fait d’être dominé par cet objet. Je resserre même mon anus pour bien pressentir le bel objet. Il glisse sur lui comme des lèvres qui dévorent un pénis. L’excitation prend des proportions affolantes. Je n’ai presque plus le contrôle. La vitesse s’intensifie. Je monte et redescend à une vitesse folle. Je glisse sur toute sa longueur. De la limite de sortie du gland jusqu’au contact du cylindre. Mes fesses frappent la surface avec ardeur. Je me sens sauvage. Je me sens chienne. Ma respiration augmente au point de l’entendre. J’ai un son d’essoufflement. J’ai une vibration indescriptible et un bouleversement dans tout mon être. Mon corps vibre. Je sens quelque chose monter sans trop le comprendre. Ça me rend fou. Tout part en dérape. Je n’arrive plus à penser. Je serre les draps. Les jambes me tremblent. J’ai des spasmes. Mon corps crispé voudrait arrêter. Se relâcher. Mais il continu, ça n’arrête pas. Dans cette folie, survient une réaction spontanée. Je me mets à crier. Et de plus en plus fort. Je crie à m’époumoné. Un son de jouissance sans me soucier qu’on m’entendre. Sans me soucier de l’image. Du fait que je m’abandonne à ce gobe. Comme un gay. Comme une fille qui se fait prendre vigoureusement par une male plein de testostérone. Cette jouissance s’étire. J’ai l’impression qu’elle ne s’arrêtera jamais. Je deviens fou. Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Je me laisse m’écrouler sur le lit. Les jambes mortes. Exténué, mais en extase. Le cœur en émoi. Je ne pensais pas que je pourrais avoir autant de sensation. Tout mon corps a ressenti l’effet. Cette sensation de perte de contrôle a été euphorique. L’objet de jouissance est toujours en place. Mon cul complètement offert. Je le laisse lentement ressortir. Au dernier bout, j’ai un sursaut agrémenté d’un petit crie. Je reprends mon souffle. Dérouté d’avoir été la chienne de cet objet. De l’avoir laissé prendre mon intimité taboue. Et surtout d’avoir crié comme une femme. Et que ce crie a été libérateur. Je me retourne pour le regarder. Pour me demander s’il est possible d’avoir un deuxième orgasme…

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