7 Fuck machine

Dans mes péripéties avec mes jouets, je souhaite me rapprocher d’une expérience plus réelle. J’utilise un appareil a mouvement automatique pour le réaliser. Histoire 7 de 22

Proposée le 30/03/2022 par Binew

Thème: Sodomie
Personnages: Solitaire
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire

Avant cette séance, il a eu quelques essais avec divers outils. Parfois intéressante, parfois satisfaisante, mais souvent décevante. Comme je découvre ce nouveau plaisir, je dois aussi me découvrir et me connaitre. Je constate également que l’ambiance et l’état d’esprit influence grandement. Une chose est certaine, mes nouvelles sensations me poussent à explorer d’avantage cette facette. Je n’enlève rien au plaisir conventionnel. Mais pourquoi ne pas connaitre les deux.


Dans les faits, les plugs ne me donnent pas le plaisir que je souhaite. Peut-être est-ce juste pour moi. Les dildos, eux, sont plus efficace. Mais pas toujours simple et demande une intervention constante. J’ai fait l’essai d’un vibrateur. Pas mauvais, mais je m’attendais à mieux. Je reviens toujours vers les dildos. Mais j’aimerais pouvoir être un peu plus passif. Ne me concentrer que sur le bienfait. Je trouve un appareil qui permet le mouvement de vas et viens mécanique. A vitesse variable. Bien sûr, à prix abordable. Car, oui, il en a des très dispendieux. Cette expérience, décrite plus loin, n’est pas la première avec cet appareil. J’ai dû en connaitre ces capacités et limites. Et les positions les plus adéquates. Mais, je vous épargne ces détails. Car je n’ai pas prévu ce récit comme un ouvrage technique. Mais plutôt comme un récit divertissant. Donc, voici une des excellentes réussites de cet appareil.


Je m’installe sur le dos, jambe relevé. La position du missionnaire du pénétré. Cette position, pour un homme, n’est pas là plus virile. Mais c’est celle qui est la plus approprié dans cette circonstance. Je prends le temps de me positionner et m’insère le dildo attaché à la machine. La démarre à basse vitesse et m’ajuste pour le meilleur mouvement. Question d’avoir une pénétration sans que le dildo ressorte. Étape accomplie, je laisse le membre glisser en moi sur toute la longueur que la machine a comme mouvement. Je me détends et encaisse cette intrusion de façon passive. J’entends les bruits de la machine qui m’indique les changements de direction. Mes mains positionnées sous mes cuisses pour supporter et maintenir mon ouverture et avoir une position non éprouvante. Je m’abandonne à toutes sensations qui pourrait survenir. Le membre continu son mouvement agréable. Je relève la tête pour regarder. Mais je n’ai aucune possibilité de voir la pénétration directement. J’avais prévu le coup. J’ai installé un miroir qui me donne une vue sur moi et sur cette pénétration. J’ai aussi installé une caméra qui capte toute l’action. J’avais envie de revoir l’action. C’est bizarre. Cette vue est très déroutante. Car, autant elle me gêne, autant elle m’excite. Cette position ne me donne pas un look très masculin. Et disons aussi qu’elle dévoile beaucoup. Mais le fait de voir le godemichet disparaitre et la position d’abandon, je trouve ça excitant. Bref, je m’éternise pas à regarder. Mais plutôt de mettre ma tête en arrière, les yeux fermés, et ainsi laisser les bienfaits me gagner. Je glisse parfois mes mains sur mes fesses pour les écarter d’avantage. Et ainsi ouvrir mon anneau de plaisirs. Je sens les nervures du dildo glisser sur la petite peau de ma rondelle. Le plaisirs me gagne, mais très lentement. Il n’a aucun contact avec mon point P. Juste ce glissement dans mon intérieur. Mais c’est très agréable. Et j’ai décidé d’être patient. On verra ou cela va me porter. J’augmenter tout de même la vitesse. L’escitation montant, la respiration s’en suit. Je laisse même ressortir de légers sons de plaisirs. Des bruits qui trahissent mon état d’esprit. Je sens mon corps en désirer d’avantage. J’aimerais que le mouvement soit plus long. Que le membre soit plus gros. Mais je suis obligé de vivre avec ce qu’il me donne. Dans toute sa douceur. Qui est loin d’être désagréable. Au contraire. Mais pénible. Car l’ascension est lente. Alors subissons subliment ce supplice. Qui, j’ai l’impression, s’étire. Je crains le résultat final. Atteindrai-je un plateau sans arriver à un orgasme et serai-je obligé d’arrêter de fatigue? Ou, au contraire, ce supplice m’apportera une jouissante délirante et nouvelle? Du moins, pour l’instant, le moment est fort agréable et l’expérience d’abandon est enivrante. J’augment encore la vitesse. Mon plaisir continu d’augmenter linéairement. Les sons de ma bouche parallèlement. J’ai beau me laisser porter, mon corps se crispe légèrement. Mon cul serrer le membre. Comme si mon intérieur essaie d’avoir le plus grand contact avec celui-ci. Le glissement se fait très bien. Mais mes parois se collent à lui. L’épousent. C’est spécial de sentir le plaisirs monter ainsi. Mon excitation est élevée. Et pourtant, j’ai n’ai aucune érection. Je me sens ailleurs. En transe. Mêlé à ça, le désir animal d’en vouloir plus. De forcer le tout. De défoncer d’avantage. Et même d’avoir mal. Comme s’il serait trop gros, ou trop long. Tout pour atteindre cet orgasme que mon corps demande avec supplice. Mais je me dois de me résigner à le laisser me gagner tranquillement. Dans toute sa lenteur divine. Mes mains serrent plus fort mes cuisses. Mes petits cries augmente en intensité. Mon cul devient un objet d’amour. Ouvert à me donner du plaisir. A m’apporter vers d’autres lieux inconnus aux conformistes habituels. Survient un vague de sensations qui semble être l’orgasme attendu. Un orgasme très bon. Mais doux et long. A qui j’ai laissé m’envahir. Aussi surprenant, après la visualisation de la vidéo, qu’il a duré un bon 25 secondes.


Après coup, je laisse retomber mes bras. Diminue la vitesse de la machine et reprend mes esprits. A ce point, je dois avouer que ce n’est pas l’orgasme que j’aurais espéré après la monter si agréable que j’ai eu. Mais loin d’être déçu de l’expérience. Cependant, je n’ai pas arrêté l’appareil. Il a donc encore mouvement à l’intérieur de moi. Et garder ma position des jambes relevées. Mes lèvres fessières encore sensibles, j’augmente la vitesse. Les sensations sont encore très présentes. Je n’ai pas envie d’arrêter. Je ne suis plus orgasmique, mais encore très émoustillé. Je réinstalle mes mains sous mes cuisses et laisse mon corps s’abandonner une seconde fois. Mon corps redevient désireux. Un désir animal m’habite. Je balance même mon corps pour augmenter le mouvement. J’augmente la vitesse ce qui m’électrise. J’arrête mon balancement pour ne me concentrer que sur les sensations, le plaisir. Machinalement, j’augmente davantage la vitesse du vas et viens de la machine. Cette opération décuple le plaisir. Mon corps se crispe d’avantage. D’où survient un orgasme encore plus puissant que le premier. J’ai l’impression qu’il ne se terminera jamais. Je crie de jouissante. Les cries que j’ai appris à ne plus retenir car ils sont naturels à mon abandon jouissif. C’est si bon. Si enivrant. Je laisse tomber mes jambes. J’essaie de reprendre mes esprits dans toute ces explosions de sensations. Mon esprit me dit que j’ai atteint ce que je cherchais. Mais mon corps se rapproche de la machine. Un geste non prémédité, spontané. Pousse à faire entrer d’avantage. Plus profond. Je sens la base du dildo frapper mon corps. Je retiens même le mouvement de la machine. J’en veux plus. Je ne suis plus orgasmique, en fait, je ne sais plus trop. Mais mon excitation est au max. Le dildo n’est pas très gros, mais il me fait un bien fou. Je me surprends à relever mes jambes et à remettre la vitesse dans le tapis. Et l’orgasme revient aussitôt. Puissant. A en perdre mes esprits. Je suis euphorique. C’est trop. Je dois décrocher. Je m’éloigne du dildo. Lui, continuant son mouvement dans le vide. Je m’étends, avec encore des spasmes. Essoufflé d’avoir été aussi crispé, d’avoir serré si fort et d’avoir crié si fort. Mon corps est sensible au moindre contact de mes mains. Le contact de mon doigt sur mon périnée me donne des chocs. Ce qui m’indique que mon point P est gonflé. C’est sûrement pour cette raison que mon dernier orgasme a monté si vite.


Après avoir pris le temps de reprendre mes esprits, je visionne le vidéo pour constater le résultat. Difficile de me voir et m’entendre ainsi. Mais je ne peux que constater le plaisirs que j’ai eu. Et surtout, c’est agréable d’être passif.


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