10 Mes limites

Depuis que j’ai ouvert mes fesses, je veux m’assurer de ne pas franchir mes limites. Je fais donc des essais pour connaitre ces limites. Histoire 10 de 22

Proposée le 1/04/2022 par Binew

Thème: Sodomie
Personnages: Solitaire
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire

Après cette soirée marquante, où je me suis fait dépuceler par un vrai pénis. J’ai beaucoup réfléchi aux risques. Je n’ai pas toujours le contrôle de tout. Donc, j’ai pris la décision de connaitre ma capacité, mes limites. Peut-être ainsi je réduirai les risques ne me faire blesser dans mes futures rencontres. Je magasine donc des godemichets aux grandeurs hors standard. Et fait quelques achats. Vous aurez deviné que ces achats ont été fait en ligne.


Matériel reçu, je me prépare adéquatement pour l’expérience. Je décide de commencer l’ouverture. Mon outil préféré dépasse déjà la moyenne des hommes en longueur. Mais l’égal en grosseur. Le premier choisi n’a que 6 ½’’ insérable, mais 2’’ de diamètre. Ce qui est probablement la dimension la plus grosse que je pourrais rencontrer. J’essaie de l’insérer avec mes mains. Aucune réussite. Mon sphincter ne semble pas vouloir laisser le passage. Je le colle sur une porte miroir et m’installe à 4 pattes devant lui. J’écarte mes fesses avec mes mains pour aider l’ouverture et présente ma rondelle à lui. J’applique une poussée, mais l’ouverture ne se fait pas assez grande. J’ai choisi un modèle réaliste et dur. Donc, l’ouverture ne peut pas être graduelle. J’applique de plus en plus de pression. Je sens mon anus coopérer et s’ouvrir peu à peu. Mais très vite, il me dit que je dépasse les limites habituelles. Je m’ouvre, mais non sans douleur. Je ne veux pas conclure à ce moment, car le plus gros expérimenté n’est que dans moyenne. Je fais quelques essais sans pousser davantage pour dilater mon muscle du sphincter. Douleur diminué, je m’essais à aller plus loin. Ce qui me permet de gagner en progression. Étant collé à un miroir, je peux voir la progression. Quand je voie qu’il en manque peu, malgré la douleur, j’applique une pression passer cette étape. Le gland cesse de m’ouvrir et se glisse en moi. Ma rondelle se referme sur lui. C’est vraiment douloureux. Je n’ose plus bouger. J’espère que cette la douleur disparaitra. Ce qui se produit. Du moins, j’ai cette impression. Où mon corps c’est habitué à cette douleur. Lentement, je continu donc à le faire pénétrer plus profondément. Je ne ressens pas de douleur supplémentaire. Je peux continuer ainsi juste qu’à l’immersion complète. Constatant que ce n’est que l’entrée qui doit s’étirer. Le conduit intérieur a l’espace pour ce type de gourdin. Et j’entame un vas et viens. Au début, c’est pour savoir si j’arrive à supporter. Mais la douleur diminue quelque peu graduellement. Et il a aussi un mélange de plaisirs qui se mêle à la partie. Je finie même par augmenter la vitesse. Je ne déteste vraiment pas ça. Mais, je n’arrive pas à monter au summum. La douleur ne disparait jamais totalement. Ce qui m’empêche d’apprécier au max.


J’ai aussi fait l’essais d’un modèle plus imposant. Celui-ci par contre, je n’ai pas réussi l’immersion. J’avais l’impression de dépasser la limite fatale. Du moins, MA limite. Je ne crois pas rencontrer un membre aussi gros. Et, je ne sais pas si c’est possible, mais je voudrais pas avoir le cul ‘’slack’’


L’étape de grosseur conclu, passons à la longueur. Il en a qu’un. Il est fait d’un matériel plus réaliste. Il est presque qu’aussi gros, mais il se compresse. Donc, il est beaucoup moins demandant à l’ouverture. Cependant, il fait 10’’ de long insérable. Je pourrai, tout au long, arrêter si j’atteins mon maximum. Toujours dans la même position, je le présente à l’entrée. L’insertion se fait sans trop de difficulté. Il est évident que le premier a ouvert le passage. Cependant, par sa longueur et son manque de rigidité, il n’est pas facile de le glisser en moi. Je réussi, par étape, de faire la progression. Je le sens m’envahir. Tout en restant attentif. Mais mon corps ne semble pas retenir cette intrusion. C’est quand mes fesses touchent le miroir, que je sais que j’ai enveloppé une très grande partie de l’outil. Ayant aucune douleur, l’envie me prend de le coulisser sur toute sa longueur. Cependant, je n’arrive pas à faire ce vas et viens. Je m’installe donc sur le divan, jambe relevé, et me réinsère celui-ci. Dans cette position, je peux exploiter la longueur inutilisable du a la distance entre mon anus et le miroir créé par mes muscles fessiers. J’arrive presque qu’a l’entrer entièrement. Je sens cependant une réticence et un contact sensible à cette immersion. Je crois que j’ai atteint le maximum de mon rectum. Et honnêtement, vous avez déjà connu des pénis de 10 pouces? C’est tout de même excitant de le savoir entièrement en moi. Et surtout, réconfortant. Car tout homme en deçà de ces dimensions, pourra m’envahir. Et je pourrai en profiter sans crainte. Je reste tout de même curieux de savoir la sensation d’un mouvement sur toute sa longueur. J’y arrive difficilement. Il est trop flexible. Je finie par me limiter à des mouvements courts. Mais, utilisé avec une tierce personne, il pourrait être bénéfique. Je n’arrive cependant pas à l’orgasme. Mais, l’expérience m’a permis de connaitre mes limites. Ce qui était le but.

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