13 Petite vite au bar

Ma nouvelle relation me sort de ma zone de confort. Vous le constaterez dans ce récit où elle m’incite à faire des trucs dans un lieu public devant spectateur. Histoire 13 de 22

Proposée le 5/04/2022 par Binew

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Thème: Fellation
Personnages: Groupes
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire

Avec Sarah, nous avons développé une belle relation. Rien de trop fusionnel car elle avait besoin de vivre sa liberté. Nous avons convenu cependant de devenir complice sur le site coquin. Depuis le dernier récit, elle est passé par son ajustement mammaire. Un très beau résultat. Mais, j’aimais vraiment les originaux. Et je crois que c’est toujours plus agréable le naturel. Mais, je dois avouer qu’ils sont d’une dimension qui lui va très bien. Et, elle se sent plus coquette. Sur notre site coquin, nous avons donc créé un profile commun et alimenté avec du visuel. Nous obtenons un certain succès. Ce qui est nouveau pour moi. C’est plus compliqué pour un homme seul. Ce succès lui donne des envies de rencontre. Mais, elle tient à les faire avec moi. Elle se sent vulnérable de faire des rencontres sans une connaissance. Je me sacrifie donc pour sa cause. Nous avons tous les deux le désir de faire une rencontre a trois. Mais d’une combinaison différente. On ouvre les deux possibilités. Et entamons les démarches nécessaires.


Je dois vous avouer que nous étions tout de même sélectif. Donc, nos démarches ont pris un certain temps avant d’aboutir. Et, pendant un certain temps, nous n’avons pas poussé pour des rencontres. Chirurgie récente, elle n’avait pas envie de les partager. Entre temps, amitié grandissante, nous nous accordons de belles sorties. Un soir, nous sommes allés voir un spectacle humoristique dans la grande ville. A notre sortie, étant pas très tard, nous passons dans un bar pas trop loin pour y prendre un verre. On y passait un certain moment au comptoir à discuter et siroté nos consommations. Je l’ai quitté un moment pour évacuer une partie ingurgitée. A mon retour, elle discutait avec un homme. N’étant pas jaloux et sachant très bien qu’elle avait la liberté de faire comme bon lui semblais, je n’en fie pas de cas. Cependant, elle m’indiqua sa conversation ce qui m’a surpris grandement. Elle avait remarqué que l’homme en question me portait un certain intérêt. Ce qui n’était pas trop surprenant dû au fait que nous étions dans le cartier gay. Je lui fis la remarque que cet individu ne m’allumait pas grandement. Elle me réconforte en ajoutant qu’elle n’avait pas l’intention de le ramener et de le faire participé à nos ébats. Mais, durant mon absence, elle lui a proposé que je lui fasse une fellation. Je n’ai pas su quoi répondre. Elle insiste, un truc vite fait dans les toilettes. Ça tourbillonnais dans ma tête. Mais tout ce que j’ai ajouté c’est ‘’OK’’. Elle ébauche un plan ce qui en résulte de se retrouver tous les deux dans les toilettes.


Nous nous rendons donc tous dans les toilettes pour homme. Évidemment, comme elle veut être spectatrice, elle entre également. Étonnamment, personne en fait la remarque ou la critique. Je pense que peu importe l’orientation, les hommes ne se sente généralement pas offusqué de la présence de femme. Le choix logique serait de s’installer dans une cabine. Mais comme nous serions trois dans un petit espace, et que je ne trouve pas sanitairement agréable, je décide d’appuyer plutôt notre ami contre le mur à côté des lavabos. Et descend pour m’occuper de lui. Je le fais sans hésitation car je n’ai pas trop envie d’étirer l’opération pour rien. Je défais sa ceinture et ouvre son jeans. Je le descends celui-ci pour bien dégager. Je décèle déjà une bosse invitante sous une mince couche de tissus. Lentement, je descends cette mince couche pour dévoiler le pénis que je m’apprête à sucer. Heureusement, il n’a pas de mauvaises odeur qui s’en dégage. Ce qui m’indique que l’homme en question est propre. Il est encore très mou. J’aurais pensé que la situation l’aurait excité un bris. Mais je l’agrippe et le glisse entre mes lèvres. Dans cette état, il m’est facile de le prendre entièrement. Je joue avec ma langue et tire dessus pour l’aider à s’engorger de sang. Je me concentre sur le membre pour ne pas remarquer les aller et venu des utilisateurs qui pourrait vouloir devenir des spectateurs additionnels. Et, n’ayant pas une grande expérience, j’ai crainte des critiques potentiels. Assez rapidement, notre homme gagne en dureté. Ce qui me permet d’avoir un meilleur mouvement. Et de coulisser comme je le désirais. Je le pompais avec délectation. Ma bouche épousait les formes de son membre. J’appréciais sa raideur, le goût de sa peau. Je léchais sa longueur, jouais sur le gland. Je redécouvrais le plaisir de sucer une belle bite bien ferme et bien gonflée. Ma complice, la coquette, c’est agenouillé devant un autre homme et fait pareil. Il est plus séduisant et plus membré que mon prétendant. Mais bon, je reviens à mon travail. Après ma première expérience, j’ai pratiqué avec des dildos. J’ai également pratiqué la longueur d’insertion. Je sais qu’une gorge profonde, point de vue sensation, n’est pas le meilleur. Mais comme je sens que j’ai un publique, je combine l’action d’avaler le plus possible son membre et faire des sons de succion à m’appliquer à lui donner les meilleures sensations possibles. Bref, j’essaie de le faire jouir tout en donnant le meilleur show. Comme il n’est pas démesuré, je peux le faire disparaitre jusqu’à la garde. Dans tout ce petit jeu, je sens que la fin de notre ami approche. Une question me tourne dans la tête. Je le termine dans ma bouche, ou je le fais éjaculer sur mon visage pour émoustiller l’entourage? Ma décision, que j’ai dû prendre rapidement, ça a été d’avaler sa semence. Je redoutais le nettoyage final. Je préférais, dès terminé, ne pas m’éterniser dans ce lieu. Et notre ami n’en finissait plus de m’inonder la bouche. Quand je constate que je siphonne plus de sa semence, je me retourne pour voir si ma complice avait terminé. Constatant que oui. Aillant plus d’expérience que moi dans cette opération. Je me lève direct. Sans prendre le temps de le recouvrir. Et nous retournons à nos verres sur le bar Les laissant ainsi, les pantalons au genoux, la queue a l’air devant ceux qui sont resté. On n’est pas resté longtemps. Et ma compagne ne semblait pas s’en offusquer. Surtout que le moment l’a rendu super excité. Nous sommes allés directement chez elle. Et comme nous venons d’allumer un feu à l’intérieur de nous, ça en a résulté un beau moment intime dès la porte traversée.

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