J'ai passé toute ma jeunesse dans le sud de la France. J'habitais dans une maison avec un jardin arboré. Encore à 16 ans, je passais certains après-midi à m'inventer des histoires et faire des cabanes, notamment dans la haie d'épicéas qui nous séparait des voisins.
Proposée le 18/04/2022 par polo7812
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Thème: Première fois
Personnages: FFH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Confession
Encore après mes 16 ans (certains diront que ce n'est plus une occupation adaptée), à partir du printemps, je me mettais en quête d'un endroit pour réaliser une cabane dans le jardin.
J'avais pu en construire, en haut d'arbres, derrière un buisson touffu, mais cette année là, je décidais de la réaliser entre deux épicéas rapprochés, qui bordaient la clôture. Des deux côtés du grillage vert qui nous séparait des voisins, des arbres préservaient l'intimité de chaque propriété.
Autant l'été, j'avais des libertés et pouvaient fréquenter des filles mais je n'avais jamais eu d'expérience plus poussée qu'un simple baiser avec celles-ci même si les excitations avaient été nombreuses. Le seul souvenir d'étreinte ou de sein entrevu sur la plage provoque à cet âge, une érection incontrôlée. Quand je me savais seul, je n'hésitais pas à me caresser. Je ne pensais pas qu'on pouvait avoir autant d'érections.
Dès que la température le permettait, j'allais dans le jardin, torse nu, parfois en maillot, ou en caleçon mais ce jour là en slip blanc assez serré, que j'avais eu deux ans plus tôt. Je l'avais conservé car quand j'avais une érection, il était trop petit pour tout cacher et je pouvais voir une partie de mon membre dur. Déjà un peu cochon, ça m'excitait quand ça arrivait.
Donc ce jour là, seul à la maison, je me rendis dans le jardin seulement vêtu de ce slip blanc mais uniquement à cause de la chaleur ce jour là. je me mis en quête de planches, morceaux de bois et d'un drap pour construire une cabane au fond du jardin, entre deux épicéas.
Je n'entendais aucun bruit chez les voisins et pensais qu'ils étaient absents. N'ayant pas encore achevé mon ouvrage, d'un coup je vis devant moi, de l'autre côté du grillage, la fille des voisins avec une copine, les deux avaient un an de moins que moi.
Je ne les avais pas entendu arriver et là elles étaient là devant moi, habillées juste de culottes, mais sans tee-shirts.
Alors que Julie, la fille des voisins, me demandait ce que je faisais, je regardais les petits seins de l'une plus de l'autre, ce qui suffisait à m'exciter. En leur répondant que je construisais une cabane, je les questionnais à mon tour sur ce qu'elle faisait ainsi habillée. En fait, elles bronzaient derrière leur maison. Mon sexe se leva tellement vite que je ne fus pas assez rapide pour m'éloigner de deux et me positionner derrière un buisson.
Déclarant vouloir m'aider à faire la cabane et jouer avec moi, elles passèrent de mon côté du grillage et se tenaient maintenant face à moi, les yeux baissés vers mon slip qui ne cachait que la partie du côté du gland, laissant apparaître presque l'autre moitié.
Encore prude dans certaines situations (être excité tout seul ou devant quelqu'un est différent), je tentais de cacher avec ma main.
Elle avouèrent que c'était la première fois qu'elles voyaient un sexe de garçon de leur âge d'autant plus en érection et me demandèrent si je pouvais tout montrer.
Je refusais jusqu'à ce qu'elles m'assurèrent que c'était "donnant donnant", et qu'elles enlèveraient leurs culottes aussi. Nous nous jurâmes de garder ça pour nous.
Nous nous finîmes la cabane, moi très excité par le fait que sans être nu, elles pouvaient voir une bonne partie de mon érection, ce dont elles ne se privaient pas. Pour ma part, leurs petits seins m'excitaient.
La cabane terminée, nous y entrâmes pour nous assoir. Pour ne pas être le dindon d'une mauvaise farce, je promis d'enlever mon slip dès qu'une des deux aurait enlever sa culotte. Laure, la copine accepta et nous dévoila très vite sa toison blonde à peine visible. Je m'exécutais aussi puis Julie aussi.
C'était la première fois que je me trouvais nu, en érection face à des filles, nues aussi (autres que ma soeur ainée ou ma cousine de mon âge).
Que c'était excitant de voir leur regard fixé sur mon bas ventre. Je n'aurai pas imaginé que ça pouvait autant me plaire.
Cela m'était déjà arrivé dans d'autres circonstances. Sans avoir besoin de me caresser, en présence d'une fille nue qui me regardait, mon sexe pouvait se brandir tout seul, s'allonger, jusqu'à des soubresauts incontrôlés et mon jus sortait alors. L''excitation me provoquait des éjaculations précoces.
A partir de ce jour là, nous avons renouvelé nos après-midi dans cette cabane mais sans aucun acte sexuel (je tiens à le préciser), juste des observations de corps et des jeux gentils de docteur...
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