Cloé amante de son oncle sans que sa tante se doute de quoi que ce soit, décide de la faire participer à leurs ébats sulfureux. Mais pour cela, il faut employer des moyens que réprouve la morale
Proposée le 3/06/2022 par amandine
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Thème: Extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire
Depuis que Cloé a goûtée au membre de son oncle Paul à l'insu de sa tante Murielle, la coquine en redemande et devient de plus en plus gourmande. Elle s'est mise dans la tête de faire participer sa tante à leurs ébats sulfureux. Elle en parle à son oncle qui fronce les sourcils, mais que l'idée émoustille, pour cela il faut que Murielle, soit conditionnée. Cloé sous les indications de son oncle, doit aguicher sa tante en ayant des postures provocantes. La coquine décide de mettre à exécution dès le lendemain matin le plan diabolique.
Elle attend que Murielle et Paul prennent leur petit déjeuner, pour apparaitre dans une nuisette transparente ultra courte sans rien dessous. Elle ondule du bassin en s'approchant de la sainte table. La tante surprise regarde le corps de sa nièce en écarquillant les yeux, elle reste sans voix. Cloé se penche lentement pour embrasser sa tante. Murielle a sous les yeux la poitrine de la jeune provocatrice qui semble bien ferme, elle regarde la pointe des seins appuyer sur le fin tissu comme pour le percer. Elle ravale sa salive et, tend la joue pour recevoir le baiser matinal.
Cloé prend place en face de sa tante en souriant, celle-ci se lève et disparait dans la cuisine pour chercher le café. Elle revient peu de temps après et se place sur le côté pour servir sa nièce comme elle le fait chaque matin. Cloé la regarde en lui souriant, la tante se penche pour servir le café, sa poitrine est si près de la tête de Cloé, que celle-ci vicieusement la tourne et, l'appuie doucement sur un des seins de Murielle, qui sursaute. Les deux femmes se regardent, Cloé dit en souriant :
-Excuse-moi tant je ne l'ai pas fait exprès !
Murielle lui répond par un sourire et reprend sa place en face de sa nièce. Pendant le petit déjeuner, les deux femmes ne cessent de se regarder, lorsque Murielle veut prendre quelque chose sur la table, comme par inadvertance, Cloé lui frôle la main ou le bras. Paul regarde le petit jeu de sa nièce, en souriant, cela l'excite. Soudain Murielle sursaute le pied dénudé de sa nièce appuie sur le sien. Elle regarde Cloé qui lui sourit, la bougresse fait plusieurs pressions du pied sur la cheville de sa tante qui ne sait que faire. Lentement, le pied longe le mollet.
Murielle se sent fébrile, ses mains deviennent moites, elle sert les cuisses pour tenter de stopper l'agression. La coquine force le barrage et avance entre les cuisses. Soudain Murielle lui saisit le pied et le retient fermement, le bourge et si près de son intimité que les orteils frôlent sa fente protégée que par sa culotte. Sa respiration s'accélère, elle ne dit toujours rien, mais soupire de nombreuses fois. Cloé retire son pied, sa tante émue, se lève et se dirige vers la cuisine, Cloé se lève à son tour, fait un clin d'œil à son oncle et rejoint sa tante dans la cuisine. Murielle lui tourne le dos, Cloé l'enlace et se plaque contre elle. Murielle se cabre, Cloé se frotte son bas ventre contre les fesses de sa tante qui se met à trembler. Elle se retourne brusquement, les deux femmes se regardent, Murielle en béguant dit :
-Mais qu'est qui te prend Cloé, tu deviens folle ma chérie !
Cloé l'enlace à nouveau et, lui tire sur les hanches. Les deux bas ventres sont l'un contre l'autre, la coquine ondule du bassin en serrant très fort sa tante, qui tremble de plus en plus. Cloé lui donne une multitude de baisers sur tout le visage sans omettre les lèvres. Murielle tente de la repousser, mais les forces lui manquent. Elle soupire bruyamment, elle défaille, Cloé cherche ses lèvres, Murielle reste tétanisée, la langue agile de sa nièce s'enfonce dans sa bouche entrouverte et se noue à sa langue. Murielle pousse avec ses mains sur le torse de sa nièce et parvint à se dégager. Rapidement, elle fuit rejoindre son mari à table. Elle se laisse tomber à côté de lui en ayant un regard hagard. Paul sait qu'il vient de se passer quelque chose, le bougre en est ravi.
Il regarde sa femme, en faisant l'étonné et demande :
- Qu'est qu'il y à ma chérie, tu n'es pas bien !
Elle répond entre deux souffles :
-Je crois que je deviens folle Paul, je ne sais pas ce qui m'arrive !
Paul sourit, le coquin lui sait ce qu'il y a, il pose sa main sur la cuisse de sa femme et la glisse sous la jupe. Murielle ne réagit pas, elle est encore étourdie par ce qu'il vient de lui arriver. La main de son mari se pose sur son entrejambe, il regarde sa femme en souriant et lui dit en faisant l'innocent :
-Ouah tu es trempée ma chérie, qu'est qui ta mise dans cet état ?
C'est Cloé qui répond en entrant dans la pièce :
-C'est moi tonton, je désire tellement tante que je me suis permise quelques incartades !
Elle s'approche de sa tante qui reste muette, passe derrière elle et pose ses mains sur ses épaules, elle les presse doucement puis, fini par la prendre par le cou et lui donner plusieurs baisers sur la nuque. Les yeux de la tante se remplissent de larmes, la main de l'oncle et toujours posée sur la culotte trempée de sa femme.
Il réussit à glisser deux doigts sous la culotte et à frotter doucement la fente qui mouille de plus en plus. Murielle rejette sa tête en arrière en geignant, Cloé en profite pour poser ses lèvres sur les siennes et à y déposer un baiser bruyant.
La coquine lui glisse ses mains dans le corsage et s'accrochent aux seins. Murielle pousse un long soupir et fond entre les bras des deux manipulateurs en pleine connivence. Les mains agiles pressent doucement les lobes mammaires, puis dégage du carcan de tissu les deux seins volumineux qui retombent sur le torse. La tante a des tétons larges et très épais, que Cloé saisit pour la faire gémir. Paul retire sa main, se glisse sous la table et, retire habilement la culotte de sa femme, il lui ouvre les jambes et plaque sa bouche sur le clito. Paul ne l'a jamais vu aussi gros. Il le tète sauvagement, Murielle se cabre en poussant des râles bruyants.
Cloé lui triture les mamelons, les bougres, gros d'origine en presque doublés de volume. Pendant que la bouche de Paul s'acharne sur son clito, les doigts agiles de la nièce lui étirent les mamelons le plus possible. Le traitement que la tante subit et si intense qu'elle se cabre en poussant un hurlement de jouissance. Elle envoie dans la bouche de son mari un flot puissant de cyprine que le coquin avale sans rechigner.
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