Amandine est sortie avec ses copines, elle rentre chez une amie pour y dormir, mais surtout pour coucher avec elle, son mari étant en stage elle en profite pour retrouver son amante...mais tout ne se passe pas comme prévu !!
Proposée le 12/06/2022 par VOLUPTA
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs confessions érotiques.
Thème: Couple
Personnages: FH
Lieu: Ascenseur
Type: Histoire
La soirée entre copines s’était bien passée, entre deux Margarita et les sushis nous avions passé notre temps à nous moquer de nos copains ou maris chacune notre tour ou toutes ensemble, surtout pour tout ce qui concernait les détails les plus croustillants sous la ceinture…J’en avais encore les larmes aux yeux tant nous avions ris, nous attirant les regards de la gente masculine autour de nous…tu m’étonnes !!! Cinq jolies filles en pleine possession de leur maturité sexuelle et seules, mais dommages pour vous les garçons nous n’étions pas là pour la bagatelle !
Je pris un taxi pour rentrer, sachant que j’allais dépasser la dose prescrite d’alcool j’avais jugé plus prudent de laisser ma voiture au parking, et puis ce soir je couchais chez mon amie, enfin disons plutôt ma petite amie, nous étions célibataires toutes les deux durant 1 semaine, mon mari étant en stage et son amie partis pour quelques jours auprès de sa mère suite à une hospitalisation …que du bonheur en perspective !!!!
Chloé n’aimait pas trop m’accompagner à mes soirées copines, pure lesbienne, elle redoutait les questions indiscrètes sur sa sexualité, qu’elle assumait pourtant, mais nous connaissant elle savait que la soirée déraperait sur le sexe et les garçons. Sans être prude (du moins avec les filles) c’était un sujet qu’elle pouvait difficilement aborder, puisqu’ à 30 ans bien sonné, elle était encore vierge !!! Je me délectais à l’avance de notre nuit coquine, toute les deux dans le même lit, pelotonnées l’une contre l’autre, nos corps nus collés par la sueur et le stupre après de longs moments de plaisirs intenses …Ayant peu souvent l’occasion hélas de nous retrouver depuis cette première fois au gymnase lorsque nous avions alors que 17 ans….
Je rentrais dans l’ascenseur, la démarche encore mal assurée par les vapeurs d’alcool, le doigt sur le bouton du 4° étage, lorsque qu’une silhouette se faufila derrière moi, m’attrapa soudainement par les cheveux, tira ma tête en arrière et glissa une lame froide et coupante sur mon cou….
-« Si tu bouges salope ! Je te tranche la gorge » dit la silhouette d’une voix grave et gutturale qu’il forçait afin de la changer…avec force il me sortit de l’ascenseur, ouvrit la porte de l’escalier de secours et m’entraina dans les sous-sols…
Paralysée par la peur, aucun son ne sortait de ma gorge, les vapeurs d’alcool disparurent soudainement, je ne réalisais pas encore trop ce qui m’arrivait, juste que mon cerveau fonctionnait à grande vitesse me répétant en boucle : « ne tentes rien ! Ne tentes rien ! Ne tentes rien ! »
Nous marchions rapidement dans des couloirs étroits plongés dans le noir, sa lame me piquait le cou, son souffle était fort, entre deux souffles il me chuchotait à l’oreille :
-« ne te retournes pas ! Sinon je te plante ! »
Qu’aurais-je pu voir dans le noir ? Mis à part ses vêtements sombres et la forme de sa tête cachée par une capuche dont je sentais les frôlements lorsqu’il me parlait…Une porte grinça, il me lâcha en me jetant soudainement, ma tête heurta un mur, la porte grinça à nouveau, un bruit de clef…puis le silence, pesant, juste le son de nos respirations….
-« Fout toi à poil salope ! » dit-il d’une voix glaçante rompant le silence…
C’était donc ça !!! Je réalisais enfin. Terrorisée, je n’avais pas encore pris conscience que cela puisse être un viol, j’avais pensé au vol du peu d’argent liquide que j’avais sur moi, à mes quelques bijoux, ma montre, mon alliance, ma bague de fiançailles surmontée d’un petit solitaire, mon Smartphone mais pas qu’il puisse en vouloir à mon corps….
La lumière crue d’une torche puissante me fit cligner des yeux…
-Commence par ôter ta culotte ! Si tu en as une bien sûr, espèce de petite pute !!! Et vite….
La tête vide, le cerveau bourdonnant, je m’exécutais comme un zombie, attrapant ma culotte avec deux doigts, la faisant glisser le long de mes jambes, soulevant un à un mes pieds pour m’en dégager….Il me l’arracha de la main et j’entendis un bruit de reniflement … Tu as à faire à un vrai pervers me dis-je, fais tout ce qu’il te demande sans poser de questions.
-Fais voire tes nibards maintenant, ils sont naturels ?
-Oui ! Bredouillais-je, étonnée par la question, me justifiant presque, déboutonnant mon chemisier et libérant mes seins libres sous la soie de celui-ci….
-Ouaiiiis ! pas mal dit le malade, me l’imaginant passant sa langue humide sur ses lèvres les yeux injectés de sang. Sa main se tendit me palpant un sein, puis faisant rouler mon téton entre ses doigts, d’abord doucement puis en me pinçant fort, ce qui me fit crier de douleur…
-je vais te faire couiner putain !!
En tremblant et sans qu’il me le demande, je fis tomber ma jupe à terre, dernier rempart de ma nudité exposée au regard de ce fou, comme hypnotisée, cachant de mes bras mes seins et mon sexe la tête baissée en fixant le sol des yeux, mes tempes battaient au rythme de mon cœur ! J’avais peur…
-Mets toi à genoux !! Ce que je fis…la torche s’approcha, dans la lumière éblouissante je vis son sexe s’approcher de mes lèvres..
-Ouvres la bouche catin !
Son sexe en érection sentait le musc mélangé à l’urine, odeur fade j’en eu un haut le cœur
-Ouvres la bouche ! hurla t’il…Je l’ouvris, il me planta son sexe dedans, m’attrapant par le nez il entreprit de me pilonner jusqu’au fond de la gorge, je sentais de nouveau sa lame dans mon cou…
-tu vas l’aimer ma grosse queue, cochonne !!! Tu vas en redemander. Hein que tu es une vraie cochonne ? Réponds-moi !!! Dis-moi que tu es une grosse cochonne !
-je suis une grosse cochonne, lui dis-je entre deux va et vient dans ma bouche !!
Je regardais son sexe et le peu de son ventre que je voyais, voulant trouver un détail de son anatomie afin de pouvoir l’identifier, je m’étais attendu à un gros bedonnant avec une petite bite, hors il était musclé et bien monté, comme quoi les aprioris …
-Fais-moi voir tes talents de suceuse, je suis sûr que tu aimes ça sucer des bites, hein que tu aimes ça salope ?
-Oui j’aime ça !! Répondis-je à la limite des sanglots…
-Suces moi comme une vraie pute ! Dévore ma queue ! Engloutis moi jusqu’au fond de ta gorge mais ne me fais pas jouir, j’ai envie de te démonter le cul avant !!!
Ses mots crus me faisaient peur pour la suite, en même temps je me surpris non pas à aimer ce qui m’arrivait…mais curieusement mon ventre devenait chaud…..
J’étais sa chose, son jouet, je faisais tout ce qu’il me demandait : le branlais dans ma bouche, lui léchais les couilles, l’anus, lui répétais tout ce qu’il me demandait tout en le suçant avidement, m’obligeant à lui faire des gorges profondes à m’étouffer, puis plus doucement l’enroulant de ma langue tout en lui caressant les testicules, son sexe était devenu énorme, dans d’autres circonstances j’aurais certainement aimé l’avoir, mais là c’était loin d’être le cas !!!
-Lèves toi et tournes toi !
Je me levais en fermant les yeux, des larmes coulaient sur mes joues et me tournais sans un cri, faisant le vide dans ma tête, attendant d’être violée comme des milliers de femmes chaque jour, tétanisée. Il me pénétra d’un coup, brutalement, sauvagement, son pieu ouvrant mon sexe douloureusement, comme défoncée par un tison brulant. Il m’attrapa par les cheveux et me chevaucha !! Il me culbutait si fort que je fus obliger de mettre mes mains contre le mur pour ne pas tomber. Il ahanait tout en me traitant de : truie ! Salope ! Pute ! Catin ! Trainée ! Giflait mes fesses si fort qu’elles me brulaient plus que mon sexe ravagé ….le dos courbé, la croupe cambrée, il allait et venait en moi.
Jamais je ne m’étais senti aussi humiliée, sentir le sexe de cet homme aller et venir en moi sans aucun plaisir, blessée au plus profond de ma chair et cela ne faisait que commencer…..
-Je vais t’enculer maintenant…allez demandes le moi, allez dis le : « encules moi !! »
Je répétais ses mots :
-encules moi !
-Qui est ce qui va avoir la grosse bite dans le cul ? hurlait-il….
-C’est moi ! Disais-je en pleurant à chaudes larmes…..
Il aimait cette domination sur moi, que je sois sa soumise involontaire……Alors, il se retira de moi et me sodomisa comme il l’avait dit, curieusement cela ne me fit pas aussi mal que je l’aurais cru, curieusement j’éprouvais non pas du plaisir, mais un tel sentiment d’abandon, de soumission, que j’étais à la limite de l’orgasme…mélange pervers d’être à la fois une victime soumise et une coquine aimant être bousculée…cela me perturbait au point que je passais d’un état à l’autre…sensation bizarre, comme si mon corps acceptait les faits voir y trouvait presque du plaisir et mon cerveau lui refusait de toutes ses forces puis passait de l’état de victime à celui de soumise consentante….
Combien de temps cela dura-t-il ? : Une éternité ! Jusqu’à ce qu’il jouisse longuement sur mes fesses en se retirant de moi, effarée de me rendre soudain compte qu’il n’avait pas mis de préservatif…mon sang se glaça dans mes veines tandis que mon esprit chauffé à blanc se réjouissait d’une trace génétique !
-Alors c’était bon coquine ? dit-il d’une voix normale.
La voix !!!!! Cette voix je la connaissais, l’aurais reconnu entre mille…Non ce n’était pas possible et pourtant c’était bien elle : celle de mon violeur était celle de…….. : mon homme, mon mec, mon mari !!! Je me retournai comme animée par un ressort, si furieuse que les mots ne pouvaient sortir de ma bouche, et je vis son visage hilare éclairé par la torche…
-Tu ne m’as-tu pas dit un jour, après un de nos ébats fantastiques, qu’un de tes fantasmes préféré était celui d’un viol ? Essayant de se rattraper rapidement me voyant prête à lui arracher ce dont il venait de se servir…Que, que tu l’avais rêvé si fort, et si souvent que parfois il te paraissait réel ? bredouillait-il à son tour en voyant la colère sortir de mes yeux…
Je ne pouvais dire non !! Comme des milliers de femmes j’avais rêvé plusieurs fois à un viol, sans le penser réellement ni le vouloir, j’avais émis l’hypothèse que cela pouvait être un fantasme refoulé, une peur viscérale telle que mon cerveau en avait fait un film et j’avais dit qu’il était un de mes préféré parce que mon imagination le transformait chaque fois, avec des détails inouïs mais certainement pas au point de vouloir le réaliser !!
-Mais t’étais pas obligé de le faire ! Hurlais-je en pleurant tout en lui frappant le torse avec mes petits poings jusqu’à ce que ceux-ci me fassent mal !
Sentant bien que sa connerie n’avait pas suscitée l’effet escompté il me prit dans ses bras et me serra si fort tout en me disant des milliers de « pardon » et de « je t’aime » que mon courroux envers lui diminua et je me blottis dans ses bras !
-je te croyais en stage ? Lui dis-je
-Et toi ? Je te suis depuis la sortie du restaurant japonais, que venais-tu faire ici ?
-Mais comment tu connais les caves de cet immeuble ? Dis-je en esquivant la question !
-J’ai habité ici avec ma mère après le divorce de mes parents, mais ça ne me dit pas ce que tu fais ici ?
-Je venais dormir chez une amie, j’ai trop peur la nuit seule sans toi !! Lui dis-je sans même y croire une seconde !
-Viens, je suis là mon amour et tu n’as plus de raison d’avoir peur !
Une fois au lit, je me suis vautrée entre ses bras puissants et lui ai montré avec la chaleur de ma bouche et celle de mon ventre que la douceur est bien plus intense que la violence…il fut d’accord !!!
Ouf !!! Que les hommes sont naïfs lorsqu’ils sont amoureux, mais quand même un peu cons de vouloir absolument réaliser nos fantasmes…certains ne doivent JAMAIS mais alors JAMAIS être réalisés, surtout quelques-uns des miens !!!!
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