Une belle mère en manque, prête à tout pour de la bite.

Son mari étant absent depuis plusieurs jours pour des raisons professionnelles, Caroline est en manque de sexe, Pour y remédier, elle décide d'accaparer, les faveurs de son beau-fils

Proposée le 15/07/2022 par Valeriane

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Thème: Couple
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Le mari de Caroline est à l'étranger pour des raisons professionnelles depuis plusieurs jours. La coquine en manque décide d'accaparer les faveurs de son beau-fils. Pour cela, il faut l'aguicher. Caroline se promène en nuisette transparente devant son beau-fils, elle prend soins de ne rien mettre en dessous. Louis est étonné de voir Caroline en nuisette déambuler devant lui sans arrêt. Tous les prétextes sont bons pour elle pour parvenir à ses fins. Elle monte sur une chaise et fait mine de chercher quelque chose sur le meuble du salon. Elle se met sur la pointe des pieds et s'agite. D'où il est Louis à une vue imprenable sur le haut de cuisses de sa balle mère Que sa courte nuisette ne peu cacher.

Le bougre se rince l'œil, il voit le début des lobs fessiers, mais pour en voir plus, le coquin se penche et regarde sous la nuisette. Il voit la raie profonde qui sépare les fesses, cela, le fait tiquer. Soudain, Caroline descend de son perchoir et se penche pour ramasser l'objet qu'elle a fait tomber volontairement. Sa nuisette remonte et découvre totalement ses fesses. Dans le sillon qui sépare les deux hémisphères, il peut observer l'anneau brun ridé. Sa gorge se noue, ses yeux ne quitte pas l'œillet. Il plaque sa main sur son entrejambe et presse sa verge qui est en semi-érection.

Caroline se redresse et se retourne brusquement, elle dit en souriant :

-Alors petit coquin, tu te rinces l'œil en regardant mes fesses sous ma nuisette hein !

Louis bafouille, il rougit comme une pivoine. Caroline remonte brusquement sa nuisette et dit :

-Voilà comme ça tu verras mieux petit cochon !

Elle ouvre les jambes et se cambre, elle offre à la vue de son beau-fils sa toison, elle dit en riant :

-Mais regarde, regarde petit obsédé !

Elle s'approche et se laisse tomber dans le canapé à côté de lui, sa nuisette et remontée jusqu'à sa taille. Elle lui attrape la main et la plaque contre sa chatte en disant :

-Oh petit salaud, tu tripotes la chatte de ta belle-mère et si ton père l'apprenait petit dévergondé !

Louis répond :

-Mais je n'ai rien fait !

-Oh le petit menteur, il touche la chatte à sa belle-mère et dit qu'il n'a rien fait, oh, je vais te corriger petit voyou !

Louis reste tétanisé, Caroline lui dégrafe la ceinture et lui baise le pantalon et le slip, au passage, elle regarde la verge en semi-érection et dit :

-Oh tripoter sa belle-mère te fait bander petit cochon !

Louis bégaye :

-Mais tu dis n'importe quoi, je ne t'ai pas touché !

Elle le repousse sur le canapé et enjambe Louis. Elle lui frotte sa chatte sur le visage en vociférant :

-Le salaud profite de la faiblesse de sa belle-mère pour lui bouffer la chatte de force !

Louis comprend ce que la salope cherche, il s'accroche à ses cuisses et lui fouille avec sa langue la chatte qui est trempée de cyprine, Caroline se cabre et dit entre deux souffles :

-Oh oui, oui, bouffe-moi bien, enfonce-la bien à fond !

La salope est tellement excitée qu'elle jouit rapidement, elle se redresse, descend du canapé, saisit la bite et la branle énergiquement. Louis rejette sa tête en arrière et ferme les yeux. La masturbation est féerique, il plane de bonheur. Soudain la bouche de Caroline gobe son cèpe et le suce férocement, sa bouche fait doubler de volume la verge. Elle la lâche, monte à califourchon sur son beau-fils, lui prend d'une main la queue et la dirige vers son abricot trop mûr. Elle le présente à l'entrée du fruit qui suinte et se laisse tomber de tout son poids. Elle pousse un long gémissement pendant la pénétration. Elle s'agite sur la queue qui l'empale profondément, elle serre les dents en grimaçant, son corps fait l'ascenseur sur la bite vigoureuse de Louis qui s'accroche à elle comme une bête sur sa proie.

Caroline geint de plaisir, elle ondule du bassin pour bien sentir dans son corps la verge gorgée de sang de son beau-fils. Elle se raidit, se plaque contre le torse de son amant et jouit en grognant comme une bête. Louis se tend comme un arc et envoie dans le ventre de Caroline son sperme visqueux. Elle grogne en recevant les décharges brulantes :

-Oui, oui, remplis-moi le ventre de ton jus, donne-moi tout !

Louis maintenant prend les commandes, il lui ordonne :

-À quatre pattes salope, je vais t'embrocher jusqu'à la garde, tu vas déguster pouffiasse !

Elle répond :

-Oui, oui, empale-moi, fais de moi une machine à jouir !

Caroline obtempère, elle pose sa tête entre ses bras et cambre bien ses reins, elle offre sa croupe en chaleur à son amant. Louis, d'un seul coup, lui enfonce sa bite dans la chatte jusqu'aux couilles, il la démonte comme un sauvage avec de violents coups de reins. Le rythme est soutenu, la bite entre et ressort de la chatte avec rage. Caroline se met à trembler, elle se cabre et jouit en hurlant. Pendant qu'elle jouit, Louis lui plante sa bite dans le cul et la défonce comme une chienne. Carole grogne :

-Oh putain oui, oui, encule-moi, éclate-moi le cul comme le fait si bien ton papa !

Louis s'acharne, sa bite coulisse dans la gaine anale avec aisance, les gémissements de sa belle-mère prouvent que la salope prend un pied d'enfer. Louis se bloque et lui remplit le cul de sperme. Sans relâche, il lui pilonne le fondement, Carole grince des dents, elle se cambre davantage et jouit du cul, la salope adore ça.

Enfin les corps épuisés se séparent, Louis regarde caroline et lui dit :

-Dorénavant, tu seras mon vide couilles salope !

Elle le regarde avec ses grands yeux et répond :

-Oui, oui, je veux être ton sac à foutre, ta putain !

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